Serge Anirépoque signe, avec Les Templiers, les Blancs Manteaux (Auteurs d’Occitanie, novembre 2006) une belle théofiction toute nimbée de saunièrologie. Un roman historique qui nous fait traverser les conflits religieux (protestantisme, catharisme) en compagnie de fidèles rescapés du massacre des Templiers. Il y est question d’un étui en peau de sanglier renfermant de précieux et mystérieux parchemins, retrouvé sur la dépouille d’un Chevalier de l’Ordre des Hospitaliers, et découvert dans une crypte dans la Forêt d’Orient. La « vraie vie du Christ » est bien évidemment au cœur de l’affaire qui nous mènera tout naturellement à Rennes-le-Château, véritable Centrale Mystique. On retrouvera le Tombeau de l’Homme qui devint Dieu dans les entrailles du Bugarach, l’Arche d’Alliance dans les souterrains de Rhedae et l’Or des Wisigoths au confluent de la Blanque et de la Sals.
Un bon bouquin, bien écrit et bien documenté.
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire