Debowska Productions nous a habitués à du très lourd, et De Rennes-le-Château à Théopolis (2005)
s’inscrit dans ces réalisations de très haut niveau. Jean-Michel Raoux et Raymond
Spinozi sont en effet interviewés au pied de la tour Magdala (par un micro en
forme de bouquet de fleurs) sur un sujet hypersensible.
Tout part de la
découverte d’un mystérieux parchemin dans une pierre de la tour de Fa, décrypté
par de très hautes autorités, et notamment Georges Kiess du Centre d’Études et
de Recherches Templières.
Et ce document fait un lien irréfutable entre
Rennes-le-Château et la région de Sisteron, où se trouve Théopolis. La
démonstration sera étayée avec force cartes géographiques grâce auxquelles la
symbolique ésotérique explose littéralement aux yeux du spectateur le plus sceptique.
Il est vrai que Raymond Spinosi a un double cosmique qui l’assiste très
solidement dans ses recherches. À tel point du reste qu’il a pu mettre la main
sur le 13e crâne de cristal dont il nous montre une excellente photo prise au
Polaroïd.
Et pour corser le tout, il est fait allusion à des tombeaux de
Princesses Mérovingiennes, dans la région de Stenay, d’origine fabuleuse (comme
la Race du même nom).
Une petite critique quand même, qui ne remet certes pas en cause l’intérêt
de la réalisation. La maison de productions de Rennes-les-Bains travaille avec
de petits budgets, et tout le film se déroule à Rennes-le-Château. On aurait
aimé aller à Fa, Sisteron et Stenay pour mieux visualiser ces incroyables
révélations.
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