ON PARLE DU COLLOQUE DE SEVRES

.
Dans le numéro de septembre de La lettre du Crocodile.

Actes du colloque de Sèvres en 2008 par l’Association pour les Recherches Thématiques sur Bérenger Saunière, Editions L’œil du Sphinx, collection Le serpent Rouge, vol. n°18.

C’était le VIème Colloque d’Etudes et de Recherches sur Rennes-le-Château. Il s’est déroulé le samedi 7 juin 2008 à Sèvres. Il fut marqué par la disparition, deux jours avant le colloque, de Jean-Luc Robin qui a largement contribué aux multiples projets sur Rennes-le-Château. Le prix Bérenger 2008, qui récompense le meilleur travail d’étude portant sur l’affaire de Rennes-le-Château et ses sujets connexes, a été attribué, à titre posthume à Jean-Luc Robin pour l’ensemble de son œuvre, à l’issue de ce colloque.
Sèvres fut choisi en raison de ses liens avec l’histoire mérovingienne qui croise les mystères qui entourent la vie de l’abbé Saunière. C’est donc un historien local, Michel Schneider, qui ouvrit les travaux par une intervention sur Sèvres et les Mérovingiens.
Daniel Castille, habitué des travaux de l’ARTBS, traita plus spécifiquement le sujet : Les Mérovingiens et l’affaire de Rennes-le-Château.
Michel Lamy a abordé le finalement vaste sujet des rapports entre Rennes-le-Château et la littérature. Ils sont nombreux, on pense immédiatement à Jules Vernes ou Maurice Leblanc avec son célèbre Arsène Lupin, mais ce serait oublié Georges Sand, Alexandre Dumas, Anatole France, Raymond Roussel…
Yves Lignon présenta aux participants un personnage mal connu, René Descadeillas, « celui par qui le scepticisme est arrivé ».
Rémy Lechevalier tenta de répondre à la question : Le Razès est-il au moins une région propice aux apparitions d’OVNIS ?
Ce fut Laurent Octonovo auteur du livre Une affaire paradoxale qui conclut le colloque par une contribution originale, Bérenger Saunière vu par certains de ses confrères ecclésiastiques.
Par ailleurs un documentaire-vidéo sur Rennes-le-Château par Jimmy Guieu fut projeté. La transcription de la vidéo fait partie de cette publication.
Les lecteurs passionnés, comme les moins passionnés, apprécieront une fois de plus le travail de l’ARTBS.
.