On trinque avec les esprits à Chimay
À Chimay, on connaît la bière, le fromage, un peu moins son château
et la truculence de l'occupante des lieux. Mais ce que l'on ne sait
pas, c'est que dans le château, les esprits se donnent souvent
rendez-vous pour tenir compagnie à la princesse qui occupe les lieux :
Elizabeth de Chimay.
Mais qui sont donc ces visiteurs qui ne manquent pas d'esprit ?
Petite déjà, lorsqu'elle déambulait dans les coursives du château, Elizabeth a pris l'habitude d'entendre des bruits saugrenus. Courants d'air ? Mauvaise farce ? Elle ne se pose même pas la question et laisse son imagination, déjà débordante, inventer des personnages qu'elle relie aux nombreux tableaux qui ornent les pièces. Sans le savoir, elle fait un lien entre surnaturel et réalité sans le savoir.
Durant des années, elle ne parlera à personne de ses moments d'évasion avec les invités du château que personne ne voit et puis, un beau jour, sans doute mue par l'envie d'ajouter un souffle de paranormal dans un château dont elle s'occupe au quotidien, elle raconte son histoire à quelques visiteurs.
La rumeur ne met pas longtemps à se répandre et les visiteurs se pressent pour, eux aussi, entendre les bruits mystérieux. Mais les esprits sont taquins. Lorsque les visiteurs 'payants' du château sont là, ils ne font pas le moindre.
Quelques équipes de télévision venue faire un reportage sur ce lieu mystérieux à quelques encablures de la France s'apprêtent à repartir bredouilles lorsqu'un des reporters a une idée lumineuse : et si l'on faisait venir un médium. Un coup de maître : les différents spécialistes de l'au-delà entrent immédiatement en contact avec des esprits manifestement heureux de vivre dans le château qui fut un jour le leur.
Dans (presque) chaque pièce, les histoires se multiplient : ici c'est l'aristocrate dont on a rasé la tête pour mieux la décapiter, là c'est un soldat qui, sur le champ de bataille, a vu ses deux jambes broyées par un boulet ennemi. Elizabeth de Chimay exulte. Elle ne s'était pas trompée : les habitants du château d'antan hantent bel et bien l'endroit.
Une seule déception : pour hanter le château, il faut apparemment mourir de mort violente. Et là, la propriétaire des lieux veut bien rejoindre un jour ses illustres aïeux, mais pas forcément dans la souffrance...
Mais qui sont donc ces visiteurs qui ne manquent pas d'esprit ?
Petite déjà, lorsqu'elle déambulait dans les coursives du château, Elizabeth a pris l'habitude d'entendre des bruits saugrenus. Courants d'air ? Mauvaise farce ? Elle ne se pose même pas la question et laisse son imagination, déjà débordante, inventer des personnages qu'elle relie aux nombreux tableaux qui ornent les pièces. Sans le savoir, elle fait un lien entre surnaturel et réalité sans le savoir.
Durant des années, elle ne parlera à personne de ses moments d'évasion avec les invités du château que personne ne voit et puis, un beau jour, sans doute mue par l'envie d'ajouter un souffle de paranormal dans un château dont elle s'occupe au quotidien, elle raconte son histoire à quelques visiteurs.
La rumeur ne met pas longtemps à se répandre et les visiteurs se pressent pour, eux aussi, entendre les bruits mystérieux. Mais les esprits sont taquins. Lorsque les visiteurs 'payants' du château sont là, ils ne font pas le moindre.
Quelques équipes de télévision venue faire un reportage sur ce lieu mystérieux à quelques encablures de la France s'apprêtent à repartir bredouilles lorsqu'un des reporters a une idée lumineuse : et si l'on faisait venir un médium. Un coup de maître : les différents spécialistes de l'au-delà entrent immédiatement en contact avec des esprits manifestement heureux de vivre dans le château qui fut un jour le leur.
Dans (presque) chaque pièce, les histoires se multiplient : ici c'est l'aristocrate dont on a rasé la tête pour mieux la décapiter, là c'est un soldat qui, sur le champ de bataille, a vu ses deux jambes broyées par un boulet ennemi. Elizabeth de Chimay exulte. Elle ne s'était pas trompée : les habitants du château d'antan hantent bel et bien l'endroit.
Une seule déception : pour hanter le château, il faut apparemment mourir de mort violente. Et là, la propriétaire des lieux veut bien rejoindre un jour ses illustres aïeux, mais pas forcément dans la souffrance...
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