Carcassonne
Vingt ans après la crue, le risque zéro n'existe pas
Le 11/10/2012 à 06h00 par Correspondant
La forte pluie n'a pas empêché la population de s'associer à la commémoration.
COUIZA Nombreux ont été les officiels, élus, amis, victimes à
se presser samedi dernier au 20e anniversaire de la crue dévastatrice de
La Salz. Et comme si les cieux voulaient justifier leur colère : des
trombes d'eaux s'abattaient au cours des cérémonies.
Jacques Hortala, maire, conseiller général, président du SDIS, avait convié à ses côtés Sébastien Lanoye sous-préfet de Limoux, Jean-Paul Dupré, député, André Viola, président du conseil général, Pierre-Henri Ilhes, président du SMARR, Henri Barbaza, président de la communauté des communes, une délégation du 4e RE de Castelnaudary, les pompiers de Couiza et d'Espéraza, pour cette célébration.
Plusieurs temps forts
À Rennes-les-Bains, l'ambiance est au recueillement avec dépôts de gerbes ; puis à Couiza, la plaque de hauteur de crue était dévoilée, avant que les discours, avec remise de médailles, n'associent toute la population.
Un apéritif dînatoire était servi avant que le colloque sur les risques d'inondation, puis une messe et un concert de saxo ne clôturent ce week-end au cours duquel le collège, le Smar et l'association des Sinistrés s'étaient associés pour installer en salle polyvalente, une exposition.
L'action de tous les décideurs repose sur le fait que le risque zéro n'existe pas.
Depuis 20 ans, bien des efforts ont été faits et des décisions prises ont été en concertation, entre l'État et les collectivités territoriales, afin de se prémunir face au risque inondation.
Plusieurs outils ont été mis en place
Bientôt, Papi 2 succédera à Papi, programmes à dimension européenne. Rappelons que Papi a été programmé en 2006 pour un montant de 80 millions d'Euros, financé à 80 % par l'Europe, l'État, le conseil régional Languedoc-Roussillon, les agences de l'eau Rhône-Méditerrannée-Corse et Adour Garonne, et les Conseils Généraux de l'Aude et de l'Hérault).
Le risque zéro n'existera jamais en terme de gestion du risque, mais personne ne saurait oublier cette déferlante qui, le 26 septembre 1992, a submergé Rennes-les-Bains, puis Couiza, et les heures d'angoisses pour les victimes, puis l'espoir de réparation et de la reconstruction.
Jacques Hortala, maire, conseiller général, président du SDIS, avait convié à ses côtés Sébastien Lanoye sous-préfet de Limoux, Jean-Paul Dupré, député, André Viola, président du conseil général, Pierre-Henri Ilhes, président du SMARR, Henri Barbaza, président de la communauté des communes, une délégation du 4e RE de Castelnaudary, les pompiers de Couiza et d'Espéraza, pour cette célébration.
À Rennes-les-Bains, l'ambiance est au recueillement avec dépôts de gerbes ; puis à Couiza, la plaque de hauteur de crue était dévoilée, avant que les discours, avec remise de médailles, n'associent toute la population.
Un apéritif dînatoire était servi avant que le colloque sur les risques d'inondation, puis une messe et un concert de saxo ne clôturent ce week-end au cours duquel le collège, le Smar et l'association des Sinistrés s'étaient associés pour installer en salle polyvalente, une exposition.
L'action de tous les décideurs repose sur le fait que le risque zéro n'existe pas.
Depuis 20 ans, bien des efforts ont été faits et des décisions prises ont été en concertation, entre l'État et les collectivités territoriales, afin de se prémunir face au risque inondation.
Plusieurs outils ont été mis en place
Bientôt, Papi 2 succédera à Papi, programmes à dimension européenne. Rappelons que Papi a été programmé en 2006 pour un montant de 80 millions d'Euros, financé à 80 % par l'Europe, l'État, le conseil régional Languedoc-Roussillon, les agences de l'eau Rhône-Méditerrannée-Corse et Adour Garonne, et les Conseils Généraux de l'Aude et de l'Hérault).
Le risque zéro n'existera jamais en terme de gestion du risque, mais personne ne saurait oublier cette déferlante qui, le 26 septembre 1992, a submergé Rennes-les-Bains, puis Couiza, et les heures d'angoisses pour les victimes, puis l'espoir de réparation et de la reconstruction.
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