Peyriac-Minervois et sa région
Peyriac-Minervois. Rennes-le-Château, éternelle énigme !
Le trésor de l'abbé Saunières, dans l'Aude et au-delà, tout
le monde en a entendu parler. Mais ce thriller fantastique et réel à la
fois fait poser encore moult questions.
Vendredi, trente personnes s'étaient déplacées au foyer de Peyriac-Minervois à 18 heures, afin d'écouter les lumières de Jean-Yves Tournié à ce sujet, et ce sous l'organisation du CCAT, dont la présidente Monique Rougié présenta l'historien.
L'abbé Saunières, arrivé pauvre en 1885 à Rennes-le-Château, va peu à peu dès 1898, dépenser des fortunes, jusqu'à bâtir les bâtiments et la tour Magdalena que l'on peut encore voir aujourd'hui. En dehors de toute polémique ésotérique, d'où vient l'argent ? À cette époque, un prêtre est rémunéré annuellement environ 900 F or, et notre abbé en a dépensé près de sept cent mille, dans son existence à Rennes, soit près de deux millions d'euros. On connaît ses idéaux royalistes qui lui valent l'inimitié de la population dans un premier temps, mais surtout l'amitié de la maison des Habsbourg, notamment Marie-Thérèse qui n'est autre que l'épouse du comte de Chambord, prétendant d'alors au trône de France. Mais surtout celui qui se fera appeler Jean Horst, frère de l'empereur d'Autriche. Il faut aussi évoquer la mémoire de Marie Denarnaud, sa bonne, en fait, vraisemblablement son amante, qui d'ailleurs lui restera toujours fidèle, jusqu'à cacher ses divers secrets. Finalement, drôle de paroissien que cet abbé ! Deux nouveaux apports dans cette recherche, il serait nommé à Rennes en 1885 à dessein, et deuxièmement, son trésor serait un secret dont la catholicité romaine pourrait trembler. Le roman continue, à vous d'en écrire la suite !
Vendredi, trente personnes s'étaient déplacées au foyer de Peyriac-Minervois à 18 heures, afin d'écouter les lumières de Jean-Yves Tournié à ce sujet, et ce sous l'organisation du CCAT, dont la présidente Monique Rougié présenta l'historien.
L'abbé Saunières, arrivé pauvre en 1885 à Rennes-le-Château, va peu à peu dès 1898, dépenser des fortunes, jusqu'à bâtir les bâtiments et la tour Magdalena que l'on peut encore voir aujourd'hui. En dehors de toute polémique ésotérique, d'où vient l'argent ? À cette époque, un prêtre est rémunéré annuellement environ 900 F or, et notre abbé en a dépensé près de sept cent mille, dans son existence à Rennes, soit près de deux millions d'euros. On connaît ses idéaux royalistes qui lui valent l'inimitié de la population dans un premier temps, mais surtout l'amitié de la maison des Habsbourg, notamment Marie-Thérèse qui n'est autre que l'épouse du comte de Chambord, prétendant d'alors au trône de France. Mais surtout celui qui se fera appeler Jean Horst, frère de l'empereur d'Autriche. Il faut aussi évoquer la mémoire de Marie Denarnaud, sa bonne, en fait, vraisemblablement son amante, qui d'ailleurs lui restera toujours fidèle, jusqu'à cacher ses divers secrets. Finalement, drôle de paroissien que cet abbé ! Deux nouveaux apports dans cette recherche, il serait nommé à Rennes en 1885 à dessein, et deuxièmement, son trésor serait un secret dont la catholicité romaine pourrait trembler. Le roman continue, à vous d'en écrire la suite !
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