19/11/12 - 15 h 04
LA CROIX - ROME
Fin du monde : les chrétiens ne s’intéressent pas aux prévisions, assure le pape
Alors que des prophéties
fantaisistes annoncent la fin du monde pour le 21 décembre 2012, Benoît
XVI a rappelé lors de la prière de l’angélus au Vatican, dimanche 18
novembre, que les chrétiens ne s’arrêtaient pas « à la curiosité pour
les dates, les prévisions ». Face au relativisme, aux catastrophes
naturelles et aux guerres qui ne manquent pas, le pape a au contraire
assuré que les chrétiens s’appuyaient sur le « roc solide » qu’est Dieu.
Depuis la fenêtre de ses appartements, place Saint-Pierre, Benoît XVI a commenté dimanche l’évangile du jour, dans lequel Jésus parle à ses disciples de son retour sur la terre, à la fin des temps. Sans citer explicitement les prévisions du calendrier maya qui, selon certains, se termine le 21 décembre prochain, le pape a assuré que le Christ, pour sa part, ne décrivait pas la fin du monde et ne se comportait pas comme un « voyant ».
Au contraire, a expliqué Benoît XVI, « il veut soustraire ses disciples de tous les temps à la curiosité pour les dates, les prévisions ». Il souhaite leur donner « une clé de lecture profonde, essentielle, et surtout montrer le juste chemin sur lequel il faut marcher, aujourd’hui et demain, pour entrer dans la vie éternelle ».
Le Christ, a encore soutenu Benoît XVI devant les centaines de fidèles réunis sous ses fenêtres, est le véritable événement qui, au milieu des bouleversements du monde, demeure le point solide et stable.
« En cherchant à voir autour de nous les signes de la présence de Dieu et à les accueillir, a encore dit le pape en français, nous découvrirons le roc solide où s’enracine notre existence au-delà des changements qui nous atteignent. »
Depuis la fenêtre de ses appartements, place Saint-Pierre, Benoît XVI a commenté dimanche l’évangile du jour, dans lequel Jésus parle à ses disciples de son retour sur la terre, à la fin des temps. Sans citer explicitement les prévisions du calendrier maya qui, selon certains, se termine le 21 décembre prochain, le pape a assuré que le Christ, pour sa part, ne décrivait pas la fin du monde et ne se comportait pas comme un « voyant ».
Au contraire, a expliqué Benoît XVI, « il veut soustraire ses disciples de tous les temps à la curiosité pour les dates, les prévisions ». Il souhaite leur donner « une clé de lecture profonde, essentielle, et surtout montrer le juste chemin sur lequel il faut marcher, aujourd’hui et demain, pour entrer dans la vie éternelle ».
Le Christ demeure le point solide et stable
« À notre époque aussi, les catastrophes naturelles ne manquent pas, pas plus que les guerres et les violences », a ensuite affirmé le pape avant d’assurer que les hommes avaient besoin aujourd’hui encore d’un fondement solide pour leur vie et leur espérance « plus encore à cause du relativisme » ambiant.Le Christ, a encore soutenu Benoît XVI devant les centaines de fidèles réunis sous ses fenêtres, est le véritable événement qui, au milieu des bouleversements du monde, demeure le point solide et stable.
« En cherchant à voir autour de nous les signes de la présence de Dieu et à les accueillir, a encore dit le pape en français, nous découvrirons le roc solide où s’enracine notre existence au-delà des changements qui nous atteignent. »
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