mercredi 16 septembre 2009

MYCROFT'S TESTIMONY


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En préparation aux Éditions de l'Oeil du Sphinx, sous la signature de Sophie Bellocq-Poulonis, dite Sherlockette :

Sherlock Holmes ne serait pas tout à fait l’homme décrit par son biographe et ami le Dr Watson. Il serait de ceux qui cachent ses déviances sous le masque du génie excentrique.
C’est du moins ce que confesse son frère Mycroft dans son récit-testament, en révélant l’ampleur de la crise identitaire dont souffrit le détective durant les trois années où Watson déserta Baker Street pour épouser Mary Morstan.
C’est aussi ce que subodore le Dr Aaron Kosminsky, psychiatre et criminologue, dans l’étude psychopathologique qu’il fait du personnage et publie en 2004.
Ces trois ans, compris entre décembre 1887 et mai 1891, furent d’insoupçonnables années d’errance et d’égarement psychiques qui conduisirent Sherlock Holmes à travers les affres de la désespérance, avant que ne le délivre sa disparition dans les chutes de Reichenbach.
De cette période troublée, personne n’en a rien su. Pas même Watson. Comment aurait-il pu ?
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