dimanche 30 septembre 2012

FORTEANISME SUR SEINE


On clique ci-dessus pour lire le compte-rendu du Congrès fortéen signé Gérard Lebat.



Quelques images :

La veille, Bertrand Méheust, Théo Paijmans et  Henry Lincoln se préparent.


La température monte au "Petit Bougnat".


Mais qui est cette jolie actrice qui salue Henry ?


Daniel Castille et Pierre Bacelon sont de belle Humeur


Henry voudrait goûter aux noisettes de Brigitte pendant que Michel Meurger grommelle.


Mensior Channel 666 couvre l'événement


Henry cherche Fanny Bastien


Mais il retrouve son cousin, perdu de vue depuis 50 ans.....


Jean-Bruno Renard nous présente de somptueux crop circles.


Théo Päijmans nous présente de bien curieux documents qui sentent bon le Vril.


 Dominique Filhol nous présente un extrait de son remarquable travail sur le Bugarach.

Christophe Morel rêve à un sacrifice de jeunes vierges.
`

Théo Paijmans termine sa dégustation de vin français.


Mais Henry n'est pas en reste....


Mais qui est cet homme mystérieux tapis dans l'obscurité ?


Quel Congrès mes amis !!!!!

Et tant pis pour le Belche qui nous a boudé.


DA VINCI BOB SUR SALUT LES COPAINS

Et voilà le dernier refuge à la mode de nombreux odésiens : on y croise Yves Lignon, le Cardinal de Sèvres, Claude Arz, votre serviteur.......

LE FESTIVAL SACRE DE SEVRES A SON AFFICHE


MEMOIRE DE SALZ

Publié le 30/09/2012 03:46
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Limoux. Crue de la Salz, c'était hier…

anniversaire

Les quatre promus et décorés./Photo DDM ()
Les quatre promus et décorés./Photo DDM


La pluie n'a pas refroidi l'émotion des participants aux cérémonies du vingtième anniversaire de la crue de la Salz et des dramatiques inondations.
Avec le soleil, la commémoration des dramatiques inondations qui se sont produites dans les secteurs de Rennes-les-Bains et Couiza il y a 20 ans, causant la perte de trois personnes et marquant à jamais les populations de la vallée et de ces deux localités en particulier, n'aurait sans doute pas suscité la même émotion. Le ciel avait la même couleur qu'au lendemain du cataclysme hier matin. Le souvenir qu'en l'espace de quelques minutes la vallée riante de la Salz s'était transformée en un paysage de guerre, les communes en villages sinistrés, les habitants en victimes encore plus impuissantes face au diktat des éléments, n'était pas difficile à imaginer. Même les morts n'avaient pas été épargnés, les eaux en furie ayant dévasté le cimetière de Rennes-les-Bains emportant les restes humains dans la rivière. C'est dire si la cicatrice du souvenir reste vive.

Un souvenir douloureux

Vingt ans c'est loin et tout proche à la fois. Les nombreux témoins qui ont suivi les cérémonies, hier, ne risquaient pas d'oublier. On l'a bien vu dans la salle de cinéma de Rennes-les-Bains au moment de la collation servie au terme des divers actes symboliques dans la localité, la minute de silence devant la maison de l'une des victimes près de l'emplacement du pont romain qui fut emporté par la crue, le dépôt de gerbe à l'ossuaire au cimetière. L'assistance se figea dans le silence et les gestes des uns et des autres demeurèrent suspendus à la vue des images du film d'amateur projeté sur l'écran. Un document saisissant de réalisme puisqu'il a été tourné au moment le plus critique, lorsque la vague déferle sur les habitations et avale tout sur son passage. Face à l'inéluctable et ses terribles conséquences, les pertes humaines, le traumatisme engendré auprès des populations, mais également le lourd préjudice matériel, certaines personnes ayant tout perdu maison, mobilier, voiture ; l'ensemble des infrastructures endommagées pour les collectivités à partir des plus basiques, la solidarité s'est exprimée de façon efficace.
Toutes les interventions des responsables, à commencer par celle du président de l'amicale des sinistrés comme celle de Jacques Hortala, conseiller général, maire de Couiza, qui était alors maire de Rennes-les-Bains, ont salué cette réaction humaine inespérée chez certains, qui se manifestent, parfois, dans des situations désespérées proches du néant. À Couiza, où le président du conseil général André Viola et le député, maire de Limoux, J.-P. Dupré avaient rejoint le cortège au premier rang duquel se trouvait notre nouveau sous-préfet Sébastien Lanoye, une plaque apposée dans l'angle de la maison de la communauté des communes, au-dessus du marqueur indiquant la hauteur de la crue, était dévoilée. C'est devant le centre de secours où la population était rassemblée que la cérémonie se poursuivait, en présence de l'ensemble du corps des sapeurs-pompiers de Couiza en grande tenue, d'un détachement du GRIMP et d'une section du régiment étranger de Castelnaudary.

ARTE A BUGARACH


Bugarach, un village dans la tourmente de l'apocalypse

Décryptage | Depuis qu'une rumeur le dit épargné par l'apocalypse, fin 2012, ce village de l'Aude voit défiler la presse mondiale. Rémi Lainé en a tiré un documentaire édifiant.

Le 01/09/2012 à 00h00
Emmanuelle Skyvington - Télérama n° 3268
Rémi Lainé, réalisateur.
« Arriver jusqu'à Bugarach, ça se mérite ! » Entouré de ses copains, sous une tente marocaine à l'entrée de ce village de l'Aude de cent quatre-vingt-quinze âmes, Christian rigole en nous offrant un verre. Encore une journaliste, « une de plus ! », qui a parcouru des kilomètres dans les Corbières avant de franchir le col des gorges de Galamus aux vertigineuses arêtes rocheuses. « Si même Télérama vient ici, ben alors... » Dans sa voix, l'étonnement rivalise avec l'ironie. Car les deux dernières années, les médias du monde entier, de NHK (la télé japonaise) au New York Times, se sont déplacés jusqu'à ce bourg en pays cathare. Selon une prophétie apparue sur la Toile, seuls Bugarach et son pic, culminant à 1 231 mètres, seraient épargnés par l'apocalypse, prévue, par le calendrier maya, le 21 décembre 2012. Vortex inversé et montagne aux pouvoirs telluriques, le « Pech » abriterait en outre une base extraterrestre et un garage à ovnis, ainsi que des « véhicules » aptes à sauver les esprits prévoyants d'un déluge de catastrophes.
<p>Jour du solstice d'été, le village de Bugarach, et le pic. <br />
Aude, France. © Christian Bellavia pour Télérama</p>
Jour du solstice d'été, le village de Bugarach, et le pic.
Aude, France. © Christian Bellavia pour Télérama
Ces histoires rocambolesques, le réalisateur Rémi Lainé, auteur de documentaires remarqués sur les Khmers rouges, l'Algérie coloniale ou les ados, en entend parler pour la première fois en 2011 par une amie productrice, qui lui envoie un article du Figaro sur ce sujet. « Au début, cela me passe par-dessus les oreilles. Mais elle insiste et me dit : "Le maire a l'air sympathique. Ecris-lui." » Rémi Lainé contacte alors Jean-Pierre Delord, qui l'invite à venir sur place. Un choc pour le réalisateur, qui découvre « un tout petit village paradisiaque ». En quelques mois, Lainé écrit son projet d'une chronique de la France d'aujourd'hui vue de Bugarach, qui prendrait le contre-pied de cette (non-) affaire de fin du monde. La chaîne Arte, elle, mord « à l'idée qu'un village, assailli par la rumeur, se trouve dans l'obligation d'y résister ». Diffusé le 20 décembre, le film sera donc la fresque sociale d'un bourg tranquille sous le feu d'une prophétie bidon à l'heure d'Internet. Tandis que les télévisions continuent de déferler pour réaliser à la va-vite des sujets goguenards (avec mention spéciale aux productions sirupo-calamiteuses de Direct 8), Rémi Lainé y loue un gîte en janvier 2012. Et descend dans l'Aude avec Jean-Pierre Fénié, son ingénieur du son, deux semaines par mois. « Le dispositif est toujours le même dans mes films : je choisis un lieu ou une situation comme poste d'observation, pour élargir un peu le champ et voir comment réagit la société. » In situ, Lainé a donc fait connaissance avec Nathalie, une bergère qui s'est installée sur la commune avec son troupeau de soixante-dix moutons pour réimplanter une activité pastorale. Sa caméra a filmé Corinne dans son magasin de produits bio, Yves et ses vautours, Bernadette la cantinière, la jeune Wendy, et bien d'autres personnages.
<p>Des habitants du villages. © Christian Bellavia pour Télérama</p>
Des habitants du villages. © Christian Bellavia pour Télérama
Bugarachois de souche ou néoruraux, tous mènent une vie « normale », bien calme en ce 21 juin, jour de Fête de la musique, et à des années-lumière de la frénésie des médias, que le maire, en place depuis trente-six ans, a alimentée... involontairement, comme il le reconnaît : « Il y a deux ans, des gens d'ici m'ont alerté sur cette histoire de fin du monde : sur Internet, on prétendait que des charters d'Américains étaient prêts à venir. Lors d'un conseil municipal, je m'en suis inquiété. Et ça a fuité... » Le lendemain, un copain journaliste de L'Indépendant de Perpignan l'appelle. Et « le dimanche, l'info fait la une de "L'Indep" ! » [qui, depuis, alimente avec régularité la rumeur dans la rubrique « Bugarach, 21/12/2012 : fin du monde ? », NDLR]. Le correspondant français du New York Times est tombé là-dessus et a écrit un article. « Il y a eu un effet rouleau compresseur de la presse et tout le monde est arrivé pour poser les mêmes questions », résume Jean-Pierre Delord. Et filmer les mêmes « survivalistes » embrassant les arbres, les mêmes témoins « mystico-perchés », de préférence la pupille dilatée, à la fin d'une soirée bien arrosée... Dans la région, nul n'ignore que le terrain était favorable à ce type d'histoires. « Très pur, très originel, cet endroit un peu paumé, avec ses décors très wagnériens, est magnifique. Mais, depuis toujours, cette région focalise le mystère et attire des gens en quête de spiritualité. Peut-être que tout cela cache un immense vide, mais c'est un vide très plein », s'enflamme l'écrivain Nicolas d'Estienne d'Orves, qui a participé au film de Rémi Lainé. Avec ses vestiges cathares et ses cités templières, l'Aude est une terre de légendes. A 13 kilomètres de Bugarach, la cité de Rennes-le-Château nourrit à elle seule des récits mythologiques, comme celui du trésor de l'abbé Saunière, qui inspira l'auteur du Da Vinci Code. C'est aussi une terre d'élection ésotérique, prodigue en littérature, loisirs et autres stages liés au paranormal. Comme les ateliers « entièreté et extase », « sur des lieux hautement vibratoires », à 990 euros le week-end ! « Des illuminés se sont rassemblés dans cette région. Mais on ne les voit jamais au village », affirme Renée, figure de Bugarach. Excédés par ces récits fantasmatiques, les habitants ont une crainte réelle : celle d'être envahis, non par des hordes de « survivalistes » dans la froidure de décembre, mais par des cars de curieux venus les « voir comme dans une réserve d'Indiens ».
<p>Rémi Lainé, chez le restaurateur Renaud. © Christian Bellavia pour Télérama</p>
Rémi Lainé, chez le restaurateur Renaud. © Christian Bellavia pour Télérama
Pendant ce temps, Rémi Lainé continue d'engranger des images. « Quand vous vous attaquez à un non-événement, à une bulle vide, le sujet lui-même est dénué de tout enjeu dramatique. Ce qui laisse une formidable liberté. On entre vraiment dans des histoires, mais sur un mode léger, sans pathos. A mon sens, les habitants de Bugarach nous éclairent sur la manière dont fonctionne la France aujourd'hui. Ici, au même titre que dans les banlieues, on voit tout ce qui palpite dans la société : la crise, mais aussi la solidarité entre les gens et un vrai dynamisme. » Conscient du paradoxe de la situation (en haute saison estivale, le village est quasi désert), il appréhende les ravages d'une couverture médiatique démesurée : « La turgescence de l'information et le prurit de la presse autour de cette affaire ont fait fuir les randonneurs et vacanciers habituels, qui ne viennent pas cette année. » Le tourisme de l'apocalypse ne paye pas, si l'on en croit le livre de réservations, presque vide, d'un parc de bungalows à louer.
<p>Le village de Bugarach, dans l'Aude. © Christian Bellavia pour Télérama</p>
Le village de Bugarach, dans l'Aude. © Christian Bellavia pour Télérama
La réputation et l'image de ce village risquent-elles d'être durablement entachées ? Plus sereins que les actifs, les anciens, telle Renée, se disent « zen » : « Des touristes s'attendent à voir quelque chose d'extravagant. Entre nous, on sourit de tout cela. » S'il dénonce le mercantilisme autour des cailloux du pic vendus par des petits malins, le maire croit, lui, que ce buzz incontrôlable n'en restera pas moins une excellente opération de communication (gratuite). « Les gens ne voient pas que le côté mystique de l'histoire, ils découvrent aussi la beauté de la nature. Cela fera vivre nos commerces et ceux des communes voisines. » Amplifié par Internet, le canular sensationnaliste finira par être détourné au profit des habitants de Bugarach. Jusqu'à la prochaine prophétie apocalyptique, prévue pour l'an 2027...
À voir : Le monde s'arrête à Bugarach, documentaire de Rémi Lainé, le 20 décembre sur Arte.

JEAN-YVES TOURNIE EN CONFERENCE


 

 

Peyriac-Minervois Le trésor de Rennes-le-Château en conférence

Correspondant
30/09/2012, 06 h 00
PEYRIAC-MINERVOIS Vendredi 5 octobre, à 18 h au foyer des Campagnes, le Cercle culturel des amis du théâtre (CCAT) propose une conférence, animée par Jean-Yves Tournié, sur "Le secret de Rennes-le-Château et Marie Madeleine, mythe ou réalité". Jean-Yves Tournié est né à Fa, en 1944. Son premier roman, "Clair de lune", voit le jour en 1965. Il est suivi de six autres dont "Loggia Secretum", son avant-dernier roman qui s'articule autour de Rennes-le-Château, petit village imprégné du mystérieux trésor qu'aurait découvert l'abbé Saunière. Des parchemins retrouvés à Montségur contenant quelques précieux enseignements ésotériques, des Manuscrits de Qûmram à ceux de Nag Hamadi et à la destruction du Temple de Salomon, des Wisigoths aux Templiers en passant par les Cathares, l'auteur interroge, au cœur de son récit, l'énigmatique secret de Rennes-le-Château, porté par la non moins énigmatique personnalité de l'abbé Saunière.

Midi-Libtre

vendredi 28 septembre 2012

ET UN PETIT BALLON AVEC EDITE !


SABINE PRESENTERA LE JEU DU CUBI FARCEUR

Publié le 28/09/2012 09:29
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Du 28/09/2012 au 30/09/2012
 
LA DEPECHE

Saint-Sardos. Faites un «Tour… de jeu» à la base de loisirs !

ce week-end, à saint-sardos demain

Serge Comba de Ludocom a enfilé l'habit de templier, thème du concours de création de jeu 2012. Trouvera-t-il le trésor? ()
Serge Comba de Ludocom a enfilé l'habit de templier, thème du concours de création de jeu 2012. Trouvera-t-il le trésor?
Samedi et dimanche, Alors jouons!, quatrième festival du jeu en Tarn-et-Garonne, vous attend sur la base de loisirs de Saint-Sardos pour l'événement ludique de l'année!

Encore plus de jeux

Au programme, des nouveautés, plus d'espaces de jeu, des rencontres avec des auteurs, des animations originales avec, en particulier, des jeux grandeur nature (initiation au combat à l'épée, etc.) ou des jeux surdimensionnés.
Une centaine de bénévoles sera là pour vous accompagner dans ce concentré de plaisirs ludiques où vous trouverez jeux de société, jeux du monde, jeux en bois et jeux d'adresse, jeux de cartes (Magic, Pokemon, Vampire) ou de figurines, jeux de rôles et animations grandeur nature. À noter qu'en avant-première, les passionnés et collectionneurs pourront découvrir la toute nouvelle extension de Magic: l'Assemblée.
Les classiques (scrabble, go, billard, poker) côtoieront des espaces dédiés aux créateurs de jeux, aux jeux médiévaux, tournois, petite enfance, bâtisseurs en herbe, boutiques, etc.

Un programme magique

Une immense ludothèque proposera plus de 300 jeux en libre-service. Il y en aura donc pour tous les goûts, pour tous les passionnés de ces loisirs qui ont la convivialité et le plaisir partagé pour principes.
Vous pourrez aussi jouer avec les auteurs des cinq jeux finalistes du grand concours de création sur le thème «Trésor des templiers» et voter pour le prix spécial du public.
De nombreux auteurs (dont quelques pointures comme Roberto Fraga) et éditeurs vous feront découvrir leur univers et leurs créations.
Pour ne rien rater de l'événement, vous pourrez vous restaurer sur place. Si vous ressentez le besoin de prendre l'air, le cadre magnifique du lac vous offrira un moment de détente bien mérité. En cas de pluie, pas de souci, la grande salle et les chapiteaux vous mettront à l'abri de l'hypothétique averse.
Rendez-vous donc samedi de 10 heures à 22 heures (fin des jeux à 2 heures) et dimanche de 10 heures à 18 heures.
L'entrée est libre et gratuite pour tous, petits et grands.
Pour vous faire une idée plus précise, n'hésitez pas, naviguez droit devant sur le web déchaîné, direction htpp ://www.alorsjouons.fr

jeudi 27 septembre 2012

L'IMI DANS LE MONDE DES RELIGIONS


"Le 'Paranormal', nous n'y croyons pas. Nous l'étudions"

L'Institut Métapsychique International étudie de manière scientifique des sujets dits "paranormaux" tels que la télépathie ou la psychokinèse. Dans quelle démarche s'inscrit-il? Qui sont ces chercheurs atypiques? À quels résultats ont-ils déjà abouti?
© DR
© DR

C'est dans le Xe arrondissement de Paris que se trouve une institution reconnue d'utilité publique presque centenaire et pourtant toujours aussi méconnue : l'Institut Métapsychique International. Fondé en 1919 par des scientifiques proches du courant spirite, cet institut étudie au début du XXe siècle des phénomènes tels que les ectoplasmes ou le spiritisme. Des intellectuels de renom, comme Henri Bergson, participent à ces expériences. Une des recherches phares à cette époque, fut de faire appel à un médium qui semblait produire de manière fiable des ectoplasmes et de les diriger où bon lui semblait. Ces fantômes étaient invités à plonger une « main » dans une cuve de paraffine. Cette expérience a permis de produire plusieurs moulages de « main fantôme », conservés à l'Institut. Ces recherches peuvent aujourd'hui prêter à sourire.

Après le Seconde Guerre mondiale, le chimiste René Warcollier prend la tête de l'institution. Passionné par la télépathie, il oriente les recherches de l'Institut dans ce domaine, et influence les expériences américaines, principalement réalisées par la CIA, sur la vision à distance, appelée « remote viewing ».

Après deux décennies difficiles liées au manque de financements, Mario Varvoglis, docteur en psychologie expérimentale, spécialisé dans les tests psi informatiques, (tests faisant interagir l'esprit et la matière par d'autres biais que les cinq sens), et élaborant le CD-Rom Psi Explorer, redonne une dynamique à l'établissement à partir de 1997. Il souhaite favoriser l'approche universaliste, à rebours de l'approche élitiste. C'est à dire qu'il ne cherche pas des personnes dotées d'un don pour ses expériences, mais préfère mettre en évidence le substrat psi commun à tous. Pour cela, il met l'accent sur un protocole quantitatif, dans l'espoir d'aboutir sur la durée à des résultats probants.

Conscient du « désintérêt » de la population pour les phénomènes paranormaux, du moins dans son discours officiel, Mario Varvoglis a orienté ses recherches vers les domaines les moins tabous dans la société française : télépathie, clairvoyance, faculté de bouger des objets par la pensée... Pour cela, il s'est entouré de grands scientifiques tels que le psychiatre Paul-Louis Rabeyron, la psychanalyste Djohar si Ahmed, le physicien Peter Bancel, l'ingénieur Jean-Paul Bailly ou encore le sociologue et historien Bertrand Méheust. Tous ces chercheurs, qui ont gardé une curiosité pour des phénomènes non-scientifiques, travaillent en collaboration avec l'international, et tentent de prouver l'existence des psy-réceptifs, personnes capables de réaliser des expériences télépathiques notamment.

Le directeur distingue deux objectifs principaux de l'Institut Métapsychique. Le premier consiste à contribuer à un mouvement international pour éclairer ces phénomènes, en usant « d'armes conventionnelles de la Science, pour en déduire des théories non-conventionnelles ». Le second objectif est d'éduquer le public, par le biais de conférences et par un Bulletin Métapsychique trimestriel. Outre l'IMI lui-même, une association a été créée, les Amis de l'IMI (A-IMI), pour permettre à de nombreuses personnes d'accéder aux travaux de l'Institut et à ses colloques. Cette association est l'atout pédagogique de l'établissement.

L'Institut Métapsychique, par le sérieux de ses membres et le choix des phénomènes traités, est le seul établissement français à mener des recherches aussi précises sur des sujets délaissés par les Universités françaises. Et comme dirait Victor Hugo, qui était curieux de ces phénomènes : « Si la Science ne veut pas de ces faits, l'ignorance les prendra ». Néanmoins, ces sujets méritent-ils une recherche à part entière? Les résultats obtenus par l'Institut depuis un siècle ont-ils réellement permis de mieux les cerner? A chacun de se faire une opinion.

mercredi 26 septembre 2012

LE VAMPIRE A L'EAU


Dépêches

Le vampire des abysses, fossile vivant mangeur de cadavres

L'océan
L'océan (AFP)

Des biologistes viennent de porter un rude coup à la réputation du vampire des abysses, un petit céphalopode à mi-chemin entre la pieuvre et le calmar: loin de se repaître de proies vivantes, l'animal n'est qu'un charognard des profondeurs réduit à grappiller des miettes de cadavres.
Le vampire des abysses (Vampyroteuthis infernalis) est si exceptionnel qu'on le qualifie de "fossile vivant". Il a depuis 1903 le privilège d'être l'unique représentant encore existant de son ordre, Vampyromorphida, dans l'arbre des espèces.
D'une longueur moyenne de seulement 13 cm, le céphalopode vit dans les océans tempérés et tropicaux, par 600 à 900 mètres de fond, où il repère le moindre mouvement avec ses gros yeux globuleux (2,5 centimètres).
Là où son homologue de légende est capable de disparaître dans un nuage de fumée, le vampire des abysses, lui, se camoufle en se nimbant d'une bio-luminescence bleu nuit.
Mais contrairement à Dracula, à Nosferatu et à leurs cousins, le vampire marin ne plante jamais ses crocs dans une proie vivante, assurent deux chercheurs californiens, qui ont épluché trente ans de données récoltées sur le petit monstre.
L'analyse de l'estomac et des excréments de l'animal est formelle : il se nourrit de cadavres et de fragments de larves, crustacés et zooplancton qui coulent lentement au fond des océans.
Hendrik Joving et Bruce Robison, de l'Institut de recherche de l'Aquarium de Monterey Bay (MBARI), ont également levé le mystère qui planait sur l'incroyable gueule de la bête: une sorte de parapluie noir dont la membrane relie les huit bras du vampire, hérissés sur leur face interne de rangées d'épines et garnies de ventouses.
Entre ces bras, deux poches renferment de longs filaments rétractiles qui rappellent ceux d'un calmar. Longtemps considérés comme des appendices sensoriels destinés à détecter proies et prédateurs, il s'agit en réalité des outils permettant au vampire de se saisir de fragments de cadavres pour les porter à sa gueule, indiquent les deux chercheurs dans la revue britannique Proceedings of the Royal Society B.
Grâce à un mucus collant sécrété par les appendices, le vampire agglomère ces miettes de nourriture pour former une petite boule, acheminée ensuite jusqu'à son bec par les épines recouvrant ses bras.
"Le comportement alimentaire du Vampyroteuthis ne ressemble à celui d'aucun autre céphalopode", résume l'étude.
Il indique "une adaptation unique, qui permet à ces animaux de passer la majeure partie de leur vie à des profondeurs où l'oxygène est très faible, mais où il y a très peu de prédateurs et de nourriture classique pour les céphalopodes", estiment les chercheurs.
Une video du vampire est visible sur le site internet du MBARI (http://www.mbari.org/education/video/vampiresquid.html)

mardi 25 septembre 2012

LA FABRIQUE GISCARD AUJOURD'HUI A TOULOUSE : UNE HONTE !!!!!


RENNES-LES-BAINS SE SOUVIENT

Aude

Il y a 20 ans, le drame à Rennes-les-Bains et Couiza

Le 25/09/2012 à 06h00 par F. A. Photos Claude Boyer et archives Pierre Davy | Mis à jour à 08h46
 Sur les trois ponts enjambant la Salz, deux sont détruits par la crue : le pont romain et la passerelle.
Sur les trois ponts enjambant la Salz, deux sont détruits par la crue : le pont romain et la passerelle. 
 
Ce samedi 26 septembre 1992, il pleuviote sur la Haute-Vallée de l'Aude. Des précipitations anodines en ces premiers jours d'automne. Pourtant, en début d'après-midi, la préfecture de l'Aude annonce de fortes pluies en fin de journée. Les mairies de Rennes-les-Bains et de Couiza sont alertées, afin qu'elles préviennent la population.
Mais à ce moment, personne n'imagine le terrible événement qui va frapper les deux communes. Le drame, à l'époque, se noue à Vaison-la-Romaine, dans le Vaucluse, où la crue de l'Ouvèze a fait 37 morts quelques jours auparavant. La veille de ce 26 septembre, les obsèques des victimes ont fait la une des journaux.
A Rennes-les-Bains et Couiza, c'est à partir de 16 h 30 que la situation se dégrade. Des pluies d'une extrême violence, très soudaines. 120 mm d'eau en une heure et une crue exceptionnelle de la Salz, l'affluent de l'Aude qui traverse les deux bourgs. Le déluge dure deux heures, et laisse derrière lui un lourd bilan : trois morts à Rennes-les-Bains, un blessé grave à Couiza (lire encadré) et de part et d'autre, d'énormes dégâts matériels.
15 jours de plan Orsec, 700 pompiers mobilisés
A Rennes-les-Bains, le pont romain et la passerelle enjambant la Salz sont emportés ; les thermes, la piscine, le terrain de tennis détruits ; l'intérieur de l'église et le cimetière dévastés. Par endroits, l'eau monte jusqu'à 8 mètres. A Couiza, la maison de quatre étages qui abrite la pharmacie s'écroule littéralement dans la rivière. Les deux communes sont coupées du monde, privées de routes, de téléphone, d'eau et d'électricité.
Face à cette situation, la préfecture déclenche le plan Orsec dans la soirée. Il restera en place pendant quinze jours, mettant en oeuvre des moyens de secours et d'assistance considérables : 700 pompiers, avec des renforts venus de l'Hérault, des Bouches-du-Rhône, du Var, de Gironde, de Charente-Maritime ; 2 200 repas et 5 000 litres d'eau distribués.
Un dispositif à la mesure de cette catastrophe, qui allait se répéter de façon plus dramatique encore dans le département, sept ans plus tard. En 1999, les inondations des basses plaines de l'Aude faisaient 25 morts et un disparu.

Couiza et sa région Actu |  Sports |  Loisirs

Publié le 25/09/2012 03:49
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Couiza. Les élèves du collège font revivre le souvenir

Des collégiens très motivés. ()
Des collégiens très motivés.
Le 26 septembre 1992, la rivière Salz sortait de son lit, provoquant une inondation sans précédente dans les villages de Couiza et de Rennes-les-Bains.
Pour commémorer les 20 ans de cette catastrophe, l'association Couiza Sinistrés, les municipalités de Couiza et Rennes-les-Bains organisent des manifestations dans les deux communes, en partenariat avec le SDIS et le SMAR, les 28 et 29 septembre.
À cette occasion, les élèves du collège J.-B.-Bieules se sont portés volontaires pour effectuer un travail d'enquête auprès des victimes et pérenniser ces témoignages sous la forme de slogans. Leurs réalisations seront affichées salle polyvalente lors des deux journées.
Parallèlement, le SMAR organisera au collège des animations qui se poursuivront les 28 et 29 septembre par une exposition à la salle polyvalente et des interventions à l'attention des élèves plus jeunes et de leurs familles. Le centre des pompiers et le SDIS présenteront les matériels de sauvetage et de déblaiement. Enfin, l'association dévoilera de nombreuses photos et articles de journaux sur cette crue exceptionnelle.
Les élèves du collège vous invitent à venir nombreux à cette manifestation afin de prendre conscience de ce risque majeur et de savoir comment agir s'il se reproduit. Pour que plus jamais un tel drame ne se reproduise !

dimanche 23 septembre 2012

LES CHRONIQUES D'EL BIB' : FIN DU MONDE A BUGARACH de Wladimir Vostrikov





Et une nouvelle fiction bugarachienne, cette fois très différente des premières : avec Fin du Monde à Bugarach, Wladimir Vostrikov (lulu.com, 2012) nous fait pénétrer dans un cercle très fermé, le « Phalanstère du Razès », étrange société philosophique qui réunit 12 membres, aujourd’hui septuagénaires, et éparpillés tout autour de la planète. Et l’on va participer à leurs nombreuses réunions, entre deux avions, dans les meilleurs hôtels internationaux et autour de tables respectables. Ils ont été sélectionnés par d’obscurs ecclésiastiques et ont pour point commun une généalogie qui remonte à des familles de la Haute-Vallée. Quel est leur but ? Pas évident, malgré le nombre d’exposés qui nous est infligé que d’aucuns qualifieraient de « planches » : politique, économie, finance, écologie, apocalypse bien sûr. Et avec en arrière-plan une mystérieuse force, le « V », qui n’est ni divine, ni extra-terrestre, et qui régit le monde de façon aveugle. Cela n’est pas sans rappeler les Grands Anciens de Lovecraft. L’une des dernières réunions se déroule chez le correspondant français, qui évidemment demeure à Rennes-les-Bains. Mais à part une séance de thalasso au Boulou et une dégustation de vins locaux à Rennes-le-Château, on ne saura guère ce qui est recherché. Peut être rien d’autre finalement que le plaisir de se retrouver entre copains qui manifestement ne connaissent pas de fins de mois difficiles.

LA TABLE DE BOTZARIS, M. CORTHIER, Paris




19 – La Cave Gourmande (10, rue du Général Brunet ; Tel: 01 40 40 03 30 ; M° Botzaris (ligne 7Bis) et Danube (ligne 7Bis). Ce petit restaurant niché près des Buttes Chaumont propose une cuisine raffinée. La carte menu change tous les jours et fait preuve d'ingéniosité. Le plus du restaurant réside dans sa formidable sélection de vin. Au niveau de la carte, vous trouverez une crème de petits pois et brioche, une terrine de crustacés, un croustillant de sandre, un tatin de faux filet... 
Contrôle qualité en septembre 2012 : la Cave Gourmande est devenue La Table de Botzaris, M. Corthier (même numéro de téléphone). Le menu est à plus de 30 € et m’a laissé perplexe. Le Vitelo Tonato en entrée (avec supplément) est tout simplement délicieux, mais la portion nécessite pratiquement un microscope pour la voir. Quant au Black Angus de Bavière (avec supplément), tout aussi succulent, il ne rebuterait pas par sa taille un végétarien. J’ai pris le pichet de vin du patron, deux cafés, et pas de dessert ni d’apéritif. Le tout pour un total de 70 €. C’est vraiment se foutre du monde. A réserver à une clientèle fortunée qui suit un régime très strict.

ELLES VONT PRIER POUR LE SUCCES DU FESTIVAL SACRE DE SEVRES 2012


L'ARIEGE AIME LES P'TITS GRIS


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Publié le 23/09/2012 03:49
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Saint-Girons. Un premier repas ufologique demain

Paranormal

Le secret de la propulsion OVNI sera dévoilé./ Photo DR ()
Le secret de la propulsion OVNI sera dévoilé./ Photo DR
L'association des Repas ufologiques, présente dans plusieurs villes de France, a pour but de regrouper les personnes intéressées par le phénomène OVNI et le paranormal. Un premier repas aura ainsi lieu en Couserans, lundi, à partir de 19 heures, au café restaurant de l'Union, à Saint-Girons. Le spécialiste Patrice Javel viendra à cette occasion présenter les dernières avancées techniques concernant l'antigravité et la magnetohydrodynamique (MHD). Le secret de la propulsion OVNI sera enfin dévoilé.
Pour en savoir plus, contacter Adrien Canon au 06.33.23.49.52
La Dépêche du Midi

samedi 22 septembre 2012

LES LOIS DE LA ROBOTIQUE

Description

L’exposition est une exploration en six étapes au cœur de la robotique, du rêve ancien de l’automate aux robots chirurgiens, les androïdes et autres êtres artificiels dévoileront tous leurs secrets. Et l’Homme… créa le robot est aussi un lieu de croisement et de rencontres exceptionnelles avec ces robots qui investissent déjà notre quotidien.

LEONARDO BIENTÔT A PARIS

 

 

Léonard de Vinci : projets, dessins, machines

Exposition // Musée et fondations

Description

Mais où Léonard de Vinci allait-il chercher son inspiration pour dessiner ses incroyables machines ? À partir du 23 octobre prochain, l'exposition "Léonard de Vinci, projets, dessins, machines" vous permettra d'explorer les sources d’inspiration, les rêves et la pensée de cet insatiable curieux. En attendant, découvrez tout l'été sur notre site une modélisation 3D des maquettes de ses machines, réalisées en Italie en 1953 d'après les dessins de ses célèbres carnets, et qui seront présentes dans l'exposition.