lundi 23 février 2015

L'ASSOCIATION DES AMIS DE JEAN-CHARLES PICHON, "LES PORTES DE THÉLÈME", COMMUNIQUE

 


L’association des amis de Jean-Charles Pichon, « Les Portes de Thélème », a le plaisir de vous convier à son Colloque 2015


Au CHÂTEAU DE LIGOURE du 11 au 14 juin 2015, du jeudi soir au dimanche après midi.

Ce château est à 87110 Saint-Jean-Ligoure, au sud de Limoges.





Programme Berder 2015

Michel Besack. Esotérisme et musique.
Lauric Guillaud. Le polar ésotérique.
Vanessa Lambotin. Sexualité sacrée.
Jean-Marie Lepeltier. Tradition et Modernité. Sagesse du chiffre et vertige du nombre.
Yves Lignon. Parapsychologie et maison hantée.
Silvanie Mague. Le Tarot et Jean-Charles Pichon.
Philippe Marlin. Rennes-les Bains et new-age.
Jocelin Morrison. L’Expérience de mort imminente, une enquête aux frontières de l’après-vie.
Jean-Christophe Pichon. A propos du Dialogue, poème de Jean-Charles Pichon.
Laurent Pichon. Le paradoxe de Russel.
Bernard Pinet. L’alchimie du théâtre.

Le tarif sera de 45 € par jour : pour 1 nuit, 2 repas, apéritif et petit déjeuner compris.




On s’inscrit auprès de :

Marie Chantal Narceau
05 55 32 23 31
06 81 15 81 99



L’adhésion à l’association est à 20 €. Elle donne droit au recueil des Actes du Colloque, ainsi qu’à une remise de 30 % sur les ouvrages de Jean-Charles Pichon. Cette remise s’applique également aux autres ouvrages proposés par l'Oeil du Sphinx durant le Colloque.


Nous envisageons du reste de proposer une cotisation croisée entre l'ODS et les Portes de Thélème.

Et pour vous mettre dans l'ambiance, un petit compte-rendu de la session 2014. On clique ici :

BERDER 2014

vendredi 20 février 2015

LES OURS INSOLITES D'AFRIQUE, Bernard Heuvelmans

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LES OURS INSOLITES D’AFRIQUE

L’ours nandi

Un inédit de Bernard Heuvelmans


BULLETIN DE SOUSCRIPTION



Les Éditions de l’Œil du Sphinx  ont le plaisir de vous annoncer la publication prochaine de ce nouvel inédit de Bernard Heuvelmans. Un ouvrage de 254 pages,  revu et annoté par Benoît Grison, avec un cahier photos et sous une couverture signée Alika Lindbergh.

La sortie de cet ouvrage est prévue en mai prochain ; son prix sera de 32 €. Nous lançons une souscription pour vous permettre de réserver dès aujourd’hui le livre au prix de 28 € (frais de port offerts).  Le nom des souscripteurs sera indiqué en première page.

Le quatrième ouvrage de la Bibliothèque heuvelmansienne dirigée par Jean-Luc Rivera. de
L’importance historique et écologique de l’Ours n’est plus à démontrer : ce grand carnivore, à l’allure souvent majestueuse, fait partie intégrante de notre patrimoine culturel et de biodiversité. Et l’on sait combien est précaire la situation des derniers ours bruns des Pyrénées.
De nos jours, l’on trouve encore des représentants de la famille des ursidés en Eurasie tout comme dans les deux Amériques et sur la banquise arctique. Pourtant, sur le planisphère des ours, une tache blanche demeure : l’Afrique, qui en semble bel et bien dépourvue. Ici, la Cryptozoologie s’attache à combler cette lacune : et c’est ainsi que Bernard Heuvelmans a pu consacrer ce livre, longtemps inédit, aux « Ours insolites d’Afrique ».
Avec la rigueur et l’audace scientifiques qu’on lui connaît, l’auteur y aborde deux grands sujets.
La présence passée de l’Ours brun au Maroc, en Algérie et en Tunisie, est peu connue et fut souvent controversée : déployant son érudition coutumière, Heuvelmans analyse le problème en confrontant témoignages, textes anciens, œuvres d’art antiques et ossements fossiles ou subfossiles.

Quelques affaires plus localisées, en Egypte et en Ethiopie, forment la transition avec une autre énigme, plus franchement cryptozoologique : celle de l’ « Ours Nandi » du Kenya.
Ce croquemitaine africain, sorte de variante tropicale de la Bête du Gévaudan, s’at- taquant volontiers aux êtres humains, a naguère fait trembler les Africains tout comme les colons blancs du Kenya... Si cette créature ne fait plus guère parler d’elle aujourd’hui, la question essentielle demeure : qu’était donc l’Ours Nandi ? Un ours véritable, une hyène, un oryctérope, un énorme ratel, ou bien des hommes commet- tant les crimes qu’on lui attribuait ? Ou faudrait-il encore invoquer la survivance actuelle d’une espèce fossile, l’étrange Chalicotherium par exemple ?

Nous laisserons au lecteur le soin de découvrir la solution de l’énigme qu’avance Bernard Heuvelmans, aussi fascinante que bien étayée.

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Je commande    exemplaire (s) de cet ouvrage au prix de 28 € l’unité par chèque à l’ordre de EODS

Nom


Adresse



Et je retourne ce coupon aux Éditions de l’Œil du Sphinx, 36-42 rue de la Villette, 75019 Paris.

LA SOUSCRIPTION EST OUVERTE JUSQU’AU 31 MARS 2015

GISCARD DE FEVRIER


mercredi 18 février 2015

L'INSTITUT METAPSYCHIQUE SUISSE EST EN DANGER : HELP !!!!




***Merci de relayer cette information dans vos réseaux***



Chers amis d’ISSNOE,

Bien que notre Institut ait déjà traversé de nombreuses crises par le passé, il atteint aujourd’hui un moment critique dans son histoire. En effet, d’ici mars 2015, les ressources financières que nous avons encore à disposition seront totalement épuisées et nous ne pourrons plus compter à l’avenir sur les fonds privés qui ont fait vivre ISSNOE jusqu’à présent.

Aujourd’hui, pour sauver notre Institut, pouvoir continuer nos activités et nos recherches sur la Conscience, nous avons besoin de votre aide !

Pour cela, il vous suffit simplement de devenir adhérent de l’Institut.

En effet, dès à présent, nous proposons un système de soutien sous la forme de cartes d’adhérent. Il existe 4 cartes, correspondant à différents niveaux d’implication.

Vous pourrez continuer à profiter de la plupart de nos activités sans être adhérent, mais en le devenant, vous aurez droit à de nombreux avantages et contribuerez à l’existence de l’Institut Suisse des Sciences Noétiques, et par là même à faire avancer les recherches dans un domaine passionnant et essentiel pour notre connaissance et notre compréhension de l’être humain.

Nous vous rappelons que notre Fondation étant reconnue d'utilité publique, vos cotisations et vos dons en sa faveur sont exonérés d'impôts et déductibles au niveau fédéral, cantonal et communal.

Nous comptons sur vous: Adhérez à l'Institut !

Nous vous souhaitons à tous de très belles fêtes de fin d'année et nos meilleurs voeux pour 2015.

Avec nos chaleureuses salutations,
L'équipe d'ISSNOE

Découvrez l'Institut en images

NOESIS

mardi 17 février 2015

IMAGINAIRE ET MAÇONNERIE A RENNES-LE-CHÄTEAU le 1er août


TESTÉ PAR OCTONOVO : KEDUBON !


On a testé pour vous deux adresses sur Bruges, si tu veux passer sur ton blog.

Hôtel LUCCA (Naaldenstraat 30 – 050/ 34 20 67)

Bel hôtel de 18 chambres, cosy, meublées classique avec de belles chambres et une déco qui sort du convenu : de belles pièces d’antiquité, de beaux meubles chaleureux, des chambres spacieuses et hautes sous plafond. Mais ce qui vaut le plus, c’est la qualité et la gentillesse de l’accueil, les conseils avisés pour les visites ou pour savoir à quel endroit acheter les meilleurs chocolats, c’est toujours utiles… Si l’endroit est très bien, c’est surtout  la qualité de l’accueil qui fait l’intérêt du lieu.

Restaurant CHRISTOPHE (Garenmarket 34 – 050/34 48 92)

Premier avantage, ils accueillent même tard, ce qui est rare dans cette ville. Les tarifs sont ce qu’ils sont mais les assiettes aussi : bien garnies et garnies de bonnes choses. Vous prendrez soit une entrée (petite faim), soit un plat (appétit plus sérieux) et ceci avalé, vous vous méfierez du dessert (pantagruélique). Le chateaubriand, testé par nos soins, servi parfait, sauces maison faites mains. Dans les assiettes des voisins, des ris de veau beaux à croquer, des poissons à la cuisson pile poil et une carbonnade qui faisait envie à quelqu’un qui n’aime pas ça… Desserts magnifiquement présentés, on n’a pu tester que les profiteroles mais impeccables.

Décor moderne et stylé mais sans excès, service très pro, toujours présent et avenant mais jamais encombrant. Un bon moment passé chez eux.

Bien cordialement

Octonovo

lundi 9 février 2015

LE GAVROCHE (Paris 2 ème)

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02 – Le Gavroche (19 rue St Marc, 75002 Paris, tél 01 42 96 89 70). Que voilà un bistrot comme on les aime ; le vin est servi au mètre (ah le Saint Amour) et les ardoises regorgent de plats sympathiques ; l’œuf mayo est servi à la douzaine, les filets de harengs étouffent dans une immense terrine, le petit salé dégouline de lentilles, la compotée de pieds de veau vous tend les orteils et l’entrecôte de salers déborde de l’assiette. Un must, mais toujours bondé !

AUTOUR DU MOULIN (Paris 18)





18 – Autour du Moulin (88 rue Lepic, 75018 Paris, 01 77 18 69 75, page facebook). Ce n’est pas vraiment une grande table, la carte est simple (entrecôte, confit, pavé de Saumon), mais souvent éclairée par un plat du jour délicieux (pour moi, ce fut le rôti de veau au cidre). 



Mais ce n’est pas pour cela que vous viendrez ici, mais pour la magnifique collection d’une centaine de rhums arrangés qui illuminent le bar. Il y en a de toutes les couleurs, c’est magique. Et si vous prenez la dégustation de base (5 verres), vous êtes assurés d’avoir vos 5 fruits et légumes quotidiens. Donc excellent pour la santé !



LE VOYNICH EN PRESQUE VRAI !





A signaler une excellente réédition du Voynich chez Hadès (2013). Excellente, parce qu’il n’y a pratiquement pas de commentaire nous infligeant une nouvelle fois l’histoire du livre et des tentatives de décodage. Excellente aussi parce que les facsimilés collent vraiment à l’original avec de belles reproductions des planches dépliables.

JOSEPH ALTAIRAC ET LA PAPESSE JEANNE

Souvenirs d'une intéressante conférence de Joseph Altairac au Festival de Bagneux 2014 ; elle a été publiée dans le bulletin Présences d'Esprit (no 81, automne 2014)



LE DINDON N'AIME PAS LE PRIEURÉ DE SION





J’ai donné hier une conférence au Groupe IDF de la Société Mythologique, dans un petit resto du Marais ouvert spécialement le Dimanche pour nous. Après un déjeuner agréable dans une cave moyenâgeuse, je commence mon intervention, centrée sur la construction de Mythe (public oblige !). Je voyais le patron derrière son bar, qui s’enfilait des petits ballons de rouge les uns derrière les autres. Et alors que j’arrivais à la conclusion, il a explosé sur le thème : bande de tarés, dégagez avec votre gourou (moi), votre Prieuré de Sion me donne les boules…. Et d’ajouter, en plus c’est gratos, je ne veux pas toucher un centime de votre secte ! Quant on sait que les adhérents de ce type de société savante sont plutôt des érudits d’âge mûr ! Nous nous sommes retrouvés (environ 25 personnes) sur le tarmac où les participants m’ont demandé de terminer…… dans un bistrot.

Une belle adresse les zamis pour vos réunions : Le Dindon en Laisse, 18 Rue Beautreillis, 75004 Paris.

vendredi 6 février 2015

L'AFFAIRE DUSSAERT, une enquête de Jacques Mougenot

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On ne remerciera jamais assez Jacques Mougenot pour avoir enquêté sur cette extraordinaire Affaire Dussaert (EODS, 2014). Il était urgent en effet de présenter l’œuvre de ce grand artiste méconnu, Philippe Dussaert (1947-1989), chef de file du mouvement vacuiste dans les années 80. Ancien élève des beaux-arts, frappé très tôt par une maladie incurable (sclérose en plaque), c’est la galeriste parisienne Peggy d’Argenson qui exposa et promut les créations de l’artiste auquel elle consacra, du reste, une biographie. Jacques Mougenot, dans ses conférences, insiste beaucoup sur le fait qu’il était considéré, au début de sa carrière, comme un « raté », tout au plus comme un copiste douteux. Il fallait en effet avoir un sacré culot pour centrer son œuvre sur le thème de « l’après » ; après la Joconde en reprenant le paysage italien mais en gommant Mona Lisa (photo) ; après Le Déjeuner sur l’Herbe de Manet, en représentant la clairière vide de ses occupants etc… 19 tableaux seront ainsi réalisés, exposés dans les plus grandes galeries parisiennes et trouveront finalement leur public. A tel point que de grands musées étrangers (Berlin, Tel Aviv, Philadelphie…) feront l’acquisition de certaines pièces. Le conférencier projette les photos des tableaux et nous montre les catalogues des expositions ainsi que plusieurs revues d’art critiquant, de façon souvent positive, le travail effectué.


Mais c’est en mars 1988 que Philippe Dussaert va frapper un grand coup en organisant une exposition de légende, « Après tout ». On a crié au canular à l’époque, les deux pièces de la galerie étant totalement vides, et fortement éclairées pour montrer qu’il n’y avait rien. Ce qui n’empêchera le catalogue de l’exposition de comporter plus de 400 pages (Jacques Mougenot nous le montre), sans photos bien sûr, mais avec de nombreuses contributions de philosophes, écrivains, critiques d’art etc s’interrogeant sur le sens de cette prestation inédite.
Philippe Dussaert s’éteindra en janvier 1989 à l’Hôpital Américain de Neuilly, et Madame d’Argenson, qui avait acquis « Après tout », le mettra en vente à la salle Drouot. En fait l’œuvre vide est simplement représentée par un certificat de propriété. C’est le Moma de New York qui remportera les enchères, mais se fera « coiffer » par une préemption du Ministère de la Culture pour compte du Louvre. Une acquisition qui partira en déconfiture, suite à plusieurs accusations de plagiat, et notamment celle d’un écrivain belge, Gilles Watrin, qui exhibera un manuscrit déposé à la SABAM de Bruxelles et qui est vide. Cela soulagera la Cour des Comptes qui avait été saisie sur le thème « dépenser de l’argent public pour acquérir du néant » et qui avait bien des difficultés à se prononcer sur la fait de savoir si « Après tout » était bien une œuvre d’art contemporain.
En sortant de cette conférence, on est quand même en droit de se demander si Philippe Dussaert n’est pas à l’art pictural ce que Jean-Baptiste Botul fut à la philosophie !



Cette enquête extraordinaire est actuellement représentée au Ciné XIII Théâtre à Paris (1 avenue Junot, 75018).

Le Livret est disponible sur la boutique de l’ODS :

mercredi 4 février 2015

RECITAL C.A. SMITH le 9 février




J'ai le plaisir de vous informer de l'organisation d'un récital consacré à la poésie de Clark Ashton Smith. Un choix de ses oeuvres, dans ma traduction, seront dites lors de la soirée du lundi 9 février de La Cave à poèmes, à partir de 20 heures, au théâtre des Déchargeurs (3 rue des Déchargeurs, 75001 Paris, 01 42 36 00 50, M° Châtelet).

Celui qui a marché parmi les ombres de Zothique,
Regardé l’oblique soleil, d’un rouge de charbon ardent,
Ne revient plus jamais au pays d’autrefois,
Mais hante un suprême rivage
Où dans le noir sable marin les cités tombent en poussière,
Où les dieux morts boivent les flots salés.
                            Clark Ashton Smith

Bonne réception,

Jean Hautepierre

lundi 2 février 2015

L'OCCULTISME DEMAIN A LA BNF

mardi 3 février 2015 17h30-18h30

L'occultisme dans Gallica

Le spiritisme sera au cœur de cette rencontre sur l’occultisme. Véritable phénomène de société au XIXe siècle, cet engouement, visible dans les supports les plus variés (ouvrages et revues spécialisées, témoignages, presse, photographies …), suscite également des moqueries et des inquiétudes.
Cette rencontre de Gallica sera l’occasion de rappeler les principaux modes de recherche, parcours guidés et fonctionnalités possibles sur un sujet bien présent dans nos collections patrimoniales.
La seconde partie de la rencontre proposera une déambulation dans Gallica à la recherche de quelques thématiques autour du spiritisme : introduction en France du « spiritisme », grandes figures du mouvement spirite, vogue des tables tournantes, écrits spécialisés (revues, manuels), etc.

Par Bénédicte Hamon, chargée de collections au département Philosophie, Histoire, Sciences de l’Homme et Agnès Sandras, chargée de collections au département Philosophie, Histoire, Sciences de l’Homme, BnF.

dimanche 1 février 2015

LES CHRONQUES D'EL'BIB : L'ÉTRANGER DES CARPATHES de Karl von Wachsmann




La redécouverte par le Castor Astral de Der Fremde de Karl von Wacksman (in Erzälungen und Novellen, Carl Focke, 1844) a fait l’objet d’une petite bombe dans l’univers des sciences vampirologiques (L’Etranger des Carpathes, 2014). On a crié au faux, à la mystification ; mais non, l’éditeur a produit l’original, et la stupéfaction est de taille. Que l’on en juge. Le comte (autrichien)  de Fahnenberg hérite d’un domaine en Carniole (Slovénie) et part avec sa fille Franziska, sa nièce Bertha et un jeune chevalier, Franz, éperdument amoureux de la première. Et lors de la traversée d’une forêt, la petite équipe est agressée par une bande de loup et sera sauvée par un personnage bizarre surgi d’un château en ruines. Les protagonistes prennent possession de leur luxueux manoir et retournent au château où vit leur sauveur, un certain Klatka. Et de l’inviter à leur rentre visite. Il ne peut venir que la nuit, ne mange ni ne boit et séduit la fille du comte qu’il vient visiter la nuit sous forme de brouillard. La belle se dépérit lentement et souffre d’une étrange blessure dans le cou. Arrive le chevalier Woislaw, prétendant de Bertha, à la fois militaire et savant, qui fera rapidement le diagnostic approprié. Le vampire sera liquidé dans son cercueil avant la tombée de la nuit avec force marteau et clous et Franziska sauvée après un massage avec le sang du monstre.
On l’a compris : tous les ingrédients du Dracula de Stoker sont réunis, le vampire, Mina, Van Helsing pour ce qui est des personnages, le brouillard, la nuit et les clous pour ce qui est du contexte. Il paraît évident qu’il s’agit de l’une des sources d’inspiration de l’écrivain irlandais, tout en lui reconnaissant d’avoir transformé cette petite nouvelle en un véritable chef d’œuvre en y ajoutant ses propres créations dont l’utilisation de Vlad Tepes n’est pas la moindre !