dimanche 30 novembre 2014

LA GONDOLE SUR LE TOIT, La Souterraine (Creuse)




23300 – La Gondole sur le toit – (8 Rue Saint-Jacques 23300 Souterraine (La), France, +33 5 55 63 03 08). Une charmante adresse dans cette cité historique. La carte fleure bon le limousin et faux-filets, entrecôtes et pièces du boucher n’attendent que votre feu vert pour venir fondre sur vos papilles. Et on notera un dessert original : la glace à la madeleine. Eh oui, comme celle de Proust. Cela nous change agréablement du spéculos devenu un peu trop envahissant !

LA VIDEO DE BTLV SUR RENNES-LE-CHÂTEAU

Elle est disponible ici ; près de quatre heures sur cette émission qui fera date :

Vidéo BTLV

Quelques images :






samedi 29 novembre 2014

LES TROIS ROYAUMES, Paris





09- Les Trois Royaumes (42 rue Richer, 75009 Paris, 01 47 70 17 17). Attention, ici c’est de l’authentique. Une chaîne de restaurants de la Province du Sichuan a choisi la rue Richer comme tête de pont. Et sans faire aucun effort pour attirer la clientèle française (pas de menu en français sur la devanture). Il n’y a ici que des chinois qui font une longue queue la soir pour retrouver les spécialités du pays. Vous avez un réchaud sur la table, et la formule repose sur des marmites, plaques chauffantes ou grills. Et c’est inouï : très pimenté et très parfumé, hyper copieux, à base de bœuf, porc, lapin ou agneau (ah les travers d’agneau au piment). Et de belles curiosités comme cette marmite de grenouilles (près d’un kilo de bestioles garnies de légumes de toutes les couleurs) dont j’ai eu du mal à venir à bout. 



La spécialité, un peu chère, est le poisson de jade grillé. Ce sera pour le second tour, car il y en aura un.


dimanche 23 novembre 2014

EMILE POULAT, RIP

 Un grand monsieur qui nous quitte ; nous avions été heureux de publier "L'Affaire de la Sapinière", une incroyable enquête "policière" sur une secte intégriste au sein de l’Église Catholique.

 

Décès du sociologue Emile Poulat

  • Home ACTUALITE Flash Actu
    • Par
    • Mis à jour
    • Publié



L'historien et sociologue Emile Poulat, spécialiste du catholicisme et de la laïcité, est mort samedi à son domicile parisien à l'âge de 94 ans, a annoncé tôt dimanche matin la communauté de Sant'Egidio.

"Avec lui disparaît un illustre savant, une mémoire du XXe siècle et de l'Eglise et un fidèle compagnon de la Communauté de Sant'Egidio", écrit dans un communiqué cette association internationale de laïcs très engagée dans le dialogue interreligieux, qui salue un "intellectuel aussi libre que rigoureux, érudit et homme de foi".

Né le 13 juin 1920 à Lyon dans une famille très catholique, Emile Poulat a été ordonné prêtre en 1944. Mais, partageant l'aventure et la position des prêtres-ouvriers insoumis à Rome, il a quitté le clergé, puis s'est marié en 1955. Docteur en théologie en 1950, Emile Poulat a été le cofondateur du premier groupe de sociologie des religions au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) dès 1954.

Il a ensuite consacré sa vie à l'étude et à ses publications, très nombreuses, notamment dans les domaines de la sociologie historique du catholicisme et de l'analyse de la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat, socle de la laïcité à la française.
Emile Poulat était officier de la Légion d'honneur, dont le président François Hollande lui a remis les insignes le 9 décembre 2012, jour anniversaire de la loi de 1905.




samedi 22 novembre 2014

STEPHEN KING & LOVECRAFT, Patrice Allart

 

 Les ÉDITIONS DE L’ŒIL DU SPHINX ONT LA PLAISIR DE VOUS ANNONCER LA SORTIE DE

Spectres, Monstres & Lovecrafteries
Stephen King, son oeuvre, son univers
Patrice Allart

Patrice Allart nous propose dans ce livre un bilan exhaustif, de ceux dont il a le secret, sur l’oeuvre écrite et la filmographie de Stephen King, centré sur les influences dont le très prolifique auteur américain a su s’inspirer dans son travail.  Bien des choses ont déjà été dites sur « Le » King de la littérature horrifique et ses productions, mais on n’avait pas encore exploré aussi systématiquement que ne le fait ici Patrice Allart la façon dont l’auteur s’approprie et revisite les ambiances et les thèmes désormais classiques du genre. Si Stephen King rencontre un succès aussi important partout dans le monde, c’est en grande partie grâce à ce talent qu’il a de réexprimer de façon originale et actuelle les préoccupations et les hantises de l’humanité depuis la nuit des temps. En se penchant sur ces sources d’inspirations, nous retrouverons bien entendu nombre d’auteurs qui nous sont chers à EODS, dont Lovecraft, Howard, et bien d’autres.
(23 € plus 4,20 € de frais de port)
ISBN 979-10-91506-15-1

vendredi 21 novembre 2014

A TABLE A ELVEN


LES CHRONIQUES D'EL'BIB' RITUEL DE CHAIR, Graham Masterton





Rituel de Chair, Graham Masterton (Milady 2009). Vous prenez d’un côté un critique gastronomique, employé par un Guide touristique américain, qui emmène en tournée son fils, qu’il a quelque peu négligé depuis son divorce. Vous prenez ensuite une sinistre secte, celle des Célestins, qui cherche à retrouver le Christ en appliquant à la lettre « prenez, et mangez en tous, car ceci est mon corps… ». On secoue le tout et on retrouve le fils entre les griffes de cannibales (de luxe) afin de faire don de sa chair pour permettre le retour du sauveur à l’occasion d’un « Last Supper » très particulier. C’est gore, à la limite du soutenable, mais ficelé comme un roastbeef.

SOURIRE DE LOTUS & FLEUR DE THÉ OU LES DÉLICES DU SHANDONG




Mercredi 12 novembre 2014
Voyage sans histoire, mais très long avec une escale de près de 8 heures à Pékin. J’avais oublié que l’on était serré comme des sardines en classe éco ; et que les repas (mais cela est cohérent avec le point précédent) étaient en string. Mais comme on va le voir, je vais me rattraper !

Sourire de Lotus m’attend à l’aéroport et en voiture pour le Crowne Plazza de Yantai. Un superbe palace qui n’a comme défaut que d’être à 30 minutes du centre. Je rencontre  les parents de mon amie, Mamou Yolande et le Papou Tsé Ping, de braves paysans chinois bien sympas. Dîner au

Crowne Plazza (299 Gangcheng East Street, Laishan District, 264003 Yantai, tél 535 6899999), Taste of Asia. Au top du building, avec une vue (nocturne) magnifique sur la baie. Nous optons pour le menu « manger tout ce que vous voulez ». Ce n’est pas un buffet, mais une carte gigantesque, avec un classement asiatique ; japonais, chinois, thaï, indien etc…. Et on s’en donne à cœur joie. De petits plats de dégustation, et on peut en redemander à l’infini. Une mention particulière aux bébés crabes au lait de coco, au « tigre qui pleure » aux oignons grillés ou au porc croustillant. De l’authentique à petit prix.

Café-armagnac  au bar avec Papou. Je discute avec mon voisin, Richard, ouvrier chez Mercédès en Alsace et en dépannage ici. Bien imbibé, il descend les doubles Red Label avec une régularité toute mécanique.

Jeudi 13 novembre 2014

Yantai (1.600.000 habitants) est une ville superbe adossée à la mer. Elle est réputée pour ses chantiers navals, sa viticulture, ainsi que pour la pêche. La firme française Renault y est installée. Elle fait partie de la florissante province du Shandong. Le Shandong (littéralement : « à l'est de la montagne ») est une province de l'est de la Chine, sur la mer Jaune et la mer de Bohai. Avec plus de 95 millions d'habitants1, c'est l'une des provinces les plus peuplées du pays. Bien que situé au sud de Pékin, on considère que le Shandong fait partie de la Chine du Nord. Son chef-lieu est Jinan. La partie est de la province, la péninsule du Shandong où se trouve la ville de Qingdao, bénéficie d'importants investissements étrangers. C'est dans le Shandong, alors nommé pays de Lu, que vécut et mourut Confucius (551-479 av. J.-C.).[1]

 Longue promenade matinale sur la « promenade des anglais locale ». Ce qui est étonnant dans les grandes villes chinoises, c’est la propreté. Il y a des agents de la voirie partout qui ne cessent de balayer et de ramasser le moindre papier ; et partout, des cendriers, pas question de balancer son mégot par terre. Autre caractéristique amusante, c’est  l’omniprésence des chefs, et ce pour tous les corps de métiers. Le chef se reconnaît à son costume qui le fait ressembler à un pilote d’Air France entre deux grèves. 

Le temps est magnifique et la présence de la mer est un excellent remède à la pollution. J’avais failli crever à Pékin en janvier 2008 en inhalant une horrible pollution congelée ! Et ici, ce n’est pas comme à Canton, on peut encore voir le ciel bleu …

Déjeuner au 

Hongkou Hôtel Restaurant. C’est l’adresse incontournable de la ville pour déguster le canard pékinois, même si la carte toute en photos offre des myriades d’autres choix. 


Le bestiau est servi selon la tradition, la peau laquée d’abord trempée dans du sucre pour se mettre en bouche, puis les crêpes rituelles, de riz et de tofu, pour croquer  l’animal. 

Belle surprise avec la carcasse qui, découpée, est passée au grill et servie au sel et poivre. Ca craque sous la dent !

Dîner au

Ruyang. Un endroit invraisemblable perdu dans une ruelle glauque, mais facile à trouver si vous demandez au chauffeur de taxi le meilleur restaurant de fruits de mer du centre ville. Je n’aurais certainement pas osé y rentrer seul ; c’est bruyant, avec des poubelles au pied de chaque table pour jeter ses détritus ; et force est de constater que les consommateurs visent plutôt mal ! On passe d’abord par une arrière-salle, remplie d’aquariums, et on choisit son repas. Difficile de faire plus frais. 


Commence alors, sur les choix de mes amis locaux, une dégustation fabuleuse qui s’ouvre par un énorme oursin qui a lui seul contient autant de corail qu’une douzaine ses cousins français. 


Puis ce sera le tour des crevettes grillées, d’une exceptionnelle brouillade d’œufs aux pétoncles, de délicieux crabes cuits à la vapeur, de poissons bizarroïdes mais très goûteux, de riz cantonais, de choux braisés,  j’en passe et des meilleures. Le tout, bien sûr, arrosé de ce qu’on appelle le « vin blanc », à savoir un alcool de riz à réveiller un mort. Quel endroit ! Inutile de dire que je n’y ai croisé aucun européen.


Vendredi 14 novembre 2014

J’ai dormi comme une pierre, certainement sous  l’effet du vin blanc. Départ pour « petite ville à moi » qui a pour nom Da Xin Dian, une bonne heure de route, et plongée au fond de nulle part dans l’univers du paysan chinois. Papou cultive des pommes. Il me fait l’honneur de sa maison.


 Une petite maison aménagée de façon chaleureuse. C’est très propre et confortable. Déjeuner au village chez le frère de Papou qui tient un restaurant :

A l’agneau en folie. Encore un endroit où je ne serais pas rentré seul. C’est une gargote de paysans, où je suis assailli par la famille de mes amis qui veut voir « le martien ». 


 Nourriture délicieuse, avec notamment  un succulent travers d’agneau grillé et une étonnante soupe au sang du dit animal.


 Ce sont des petits carrés de boudin que l’on trempe dans un bouillon de choux.  Le vin blanc coule à flot. Et comme si n’avais pas eu ma dose, on m’offre deux petits flacons pour la route ! Un conseil cependant, éviter d’aller aux toilettes.

Visite l’après-midi de la belle forteresse de Penglai (Penglai Pavillon). 



Une succession de temples taoïstes qui surplombent la petite cité. J’adore l’ambiance de ce type d’endroit. En Chine, le mont Penglai, ou Penglai Shan, est le lieu où les huit immortels de Liu An tiennent leur banquet (attention à ne pas les confondre avec les huit immortels). 




Ses fruits sont l'élixir de longue vie et c'est pour cette raison que Qin Shi Huang, l'empereur fondateur de la dynastie Qin, l'a fait rechercher. Selon le Shanhaijing, la montagne serait sur une île dans l'est de la mer de Bohai. À l'époque de Qin Shi Huang (-259 – -210), les îles des immortels étaient au nombre de trois : Penglai (蓬萊), Fangzhang (方丈) et Yingzhou (瀛州); par la suite, Daiyu (岱輿) et Yuanjiao (員嬌) se sont ajoutées à la liste. La Voie des immortels ayant été absorbée par le taoïsme, ces îles font partie des terres d'immortalité de cette religion.



Aujourd'hui, la ville de Penglai, dans la province du Shandong est généralement présentée comme le point de départ des huit immortels traversant la mer. Des îles à l'horizon y démarquent la séparation entre la mer de Bohai de la mer Jaune, conduisant de la péninsule du Shandong à la péninsule de Liaodong, sur l'autre rive des deux mers. [2]


Petit coup de shopping dans une galerie commerciale où Sourire de Lotus retrouve une charmante grande sœur, Charlotte. Et nous partons tous ensemble dîner au

Hanpinyuan, Penglai (0535-563335). Totalement invraisemblable : on paye l’équivalent de 5 € et on rentre dans le temple du barbecue à volonté, boissons comprises. Des buffets vous proposent viandes et fruits de mer à l’infini. 


On se sert et on se  grille les mets  à table. Découvert l’araignée de mer dont l’intérieur des branches renferme de petits grains qui font penser à un caviar sec. Délicieux. 


Une équipe de jeunes voisins dîne avec  un carton de 12 bouteilles de bière… à volonté. Nous nous sommes contentés de 6 fioles de « vin blanc ».
Le vin blanc ingurgité à force de kampaï fait que je ne verrai pas la route du retour en taxi ! Je suis définitivement adopté par la famille !

Samedi  15 novembre 2014
Retour à Da Xin Dian. Sourire de Lotus thé est malade, indigestion évidemment suite aux dégustations précédentes. Mais les troupes vont se relever, et avec sa sœur qui fera aujourd’hui le taxi, son fils,  Papou, nous allons déjeuner à



L’âne en folie ! Encore une gargote locale qui ne connaît pas les touristes, et dont la spécialité est bien sûr la viande d’âne. Malgré un petit blocage psychologique, j’essaie et c’est fameux : bouillon aux boulettes de viande hachée, peau d’âne aux œufs de caille (cela ressemble à des lamelles de tête de veau), 


viande d’âne séchée et salée, raviolis d’âne aux herbes. 

Mes amis chinois, émerveillés par mes facultés d’adaptation, me laissent entendre qu’ils connaissent un excellent restaurant dont la spécialité est le chien ! On verra plus tard ! Et comme d’habitude, on boudera le « chalet de nécessités ».


Belle ballade l’après-midi à la découverte des « trois montagnes divines » de Nashan. Un bouddha gigantesque avec 360 marches à gravir. Un autre d’accès plus soft et en nacre. Sublime !

Retour à Yantai, avec à l’arrivée des bouchons très pénibles. Même si les troupes sont épuisées et saturées, j’ai droit à un dîner au


Top Rice (Galerie commerciale Yantrail, Zhen hua shang sha). Un des innombrables restaurants de la galerie commerciale tendance de la ville. Et selon mes amis chinois, une cuisine authentique. Je me contenterai d’un émincé de pommes de terre aux piments, d’une fricassée d’aubergines sucrées et de mon fidèle pied de cochon avec  sa sauce bisous (à l’ail).
Dimanche 16 novembre 2014

On souffle ce matin.  Nous devions visiter le Musée du Vin de Yantai, mais Charlotte s’est plantée et nous nous retrouvons dans le quartier commercial. 


Une belle occasion pour visiter le marché coloré, alternant textile bon marché (je fais provision d’écharpes et de chaussettes !) et street food délicieusement odorante. 


Je remplis aussi mon sac de « bonbons », ces fabuleuses friandises aux pattes de canard, à la poitrine de porc ou au bœuf séché. 


Le Cardinal va se régaler. Sourire de Lotus a une véritable crise de boulimie et goûte à tous les stands. 

Papou m’offre une écharpe, que je choisis  bien évidemment de couleur rouge. C’est une personne vraiment très sympathique. Une pensée attristée pour Oncle Joe : je n’ai pas vu la queue d’un bouquiniste, ni même d’une librairie. Un malheur pour tout bon Bibliothécaire qui lit en mangeant…


 Nous sommes dimanche, mais tout est ouvert ici, même les banques. On ne connaît pas les 35 heures, les RTT ou les débats infinis sur le travail dominical. Il est vrai qu’il n’y a pas de syndicats, nous sommes dans un régime communiste où tout est fait pour le bien du peuple !

Visite du rayon alimentation de la galerie commerciale. Le « Lafayette Gourmand » est à côté l’épicerie arabe du quartier. Et sur les principaux stands, des hôtesses plus charmantes les unes que les autres  vous proposent de goûteux « contrôle qualité ».

Déjeuner à
Hotpot (Galerie commerciale Yantrail, Zhen hua shang sha). Nous sommes ici dans un autre temple, celui de la fondue chinoise. Chacun est équipé d’un petit réchaud, et les plats s’alignent comme d’habitude à l’infini : bœuf, agneau, langue, porc, poulpes et légumes à profusion. Une mention particulière pour le petit buffet où l’on choisit (difficilement) ses sauces. J’ai pris (au hasard) un bouillon de crème de cacahuètes et une purée de piments noyés dans de la ciboulette chinoise. Fameux !

Petite sieste, promenade autour de l’hôtel et repos de l’estomac à la brasserie du palace où j’étais le seul client pour une véritable armée au service.

Lundi 17 novembre 2014
Retour à Da Xin Dian. Ce qu’il y a de bien en Chine, ce sont les routes. Sauf au fin fond de la cambrousse, ce ne sont que des autoroutes (limitées à 120) ou des voies rapides.  Et gare à son matricule, flashs et radars sont omniprésents. Sur l’autoroute qui mène à Penglai, j’essaye de photographier deux châteaux en construction, directement issus de Walt Disney Procuctions, qui marqueront la propriété du viticulteur du coin.

Nous prenons Sourire de Lotus et Papou. 
Déjeuner au :

Basa Steak (Penglai). The steak house de la cité. Un restaurant moderne et convivial où comme souvent on paye en entrant et ensuite tout est à volonté. La serveuse, Fleur de Thé, est adorable et l’effet d’une visite d’un martien continue de parfaitement fonctionner.



Gigantesque buffet pour se mettre en bouche et ensuite un beau choix de faux-filets, entrecôtes, côtes de bœuf, viandes servies cuites au grill ou sur plaque chauffante. Et pour ne rien gâcher, le tout accompagné de frites croustillantes. Encore une mention « super ».

Petit tour chez de la famille locale.


J’accompagne Sourire de Lotus dans un hôpital dentaire ultra-moderne où elle doit se faire poser un implant.



Elle y renonce à l’annonce du prix. Pas de carte vitale ni de mutuelle ici ! Elle se fera soigner en France qui n’est pas un pays communiste.




Visite ensuite du Parc des 8 Immortels, avec ses pagodes et ses temples. Magnifique (cf supra)





Nous terminons l’après-midi par la visite du quartier des antiquaires de Penglai.




Dîner offert par Charlotte au Seafood Restaurant. Encore une gargote (évitez les toilettes !) où l’on choisit les bestioles que l’on va déguster. Un festin de roi. A nouveau de succulents oursins. Et découverte des patates douces caramélisées.


Papa ne peut plus ingurgiter une bouchée. Il se contentera de thé vert ! La côte de bœuf de midi l’a tué…


Retour à Yantai sans histoire. Le programme de demain est incertain, car Charlotte a eu un décès dans sa famille. Et on ne sait pas encore à quelle heure on «  ira au four ! »

Mardi 18 Novembre 2014
Il continue de faire un temps magnifique. Visite le matin du Yantai Wine Museum.



 La viticulture a été fondée en 1892 par la famille Chanyu qui a développé une entreprise devenue prospère, et propriétaire de nombreux châteaux à l’étranger (dont  évidemment dans le bordelais). Le Directeur est aujourd’hui français.


Je retrouve Sourire de Lotus et Charlotte à midi. Petite promenade dans les quartiers populaires.


 Je me réfugie à l’hôtel. De toutes façons, il va falloir faire la valise, retour demain à Paris. Je ne sais pas comment je vais caser toutes les bouteilles de vin blanc que l’on m’a offertes, ainsi que l’énorme sac de « bonbons » pour le Saint Homme de Sèvres.
Sourire de Lotus et Charlotte me retrouvent pour le dîner de l’au-revoir ; en toute simplicité à la café de l’hôtel dont l’abondance viendrait à bout d’un régiment de guerriers Shaolim.

Quel voyage, les zamis !



[1] Wiki
[2] Wiki