Le Bugarach est devenu une source d’inspiration pour les
romanciers ; les poètes ne sont pas en reste et Jean-Louis Foumane Azombo,
un sénégalais résidant à Marseille, publie un recueil intitulé Et Dieu créa Bugarach (Edifree, 2012). De
la poésie hyper réaliste, puis que le récit de son ascension sur la montagne
sacrée se termine de la sorte :
Je me hisse, épuisé !!!!
Je suis aussitôt pris,
Comme le pauvre Amstrong,
Au moment de poser son pas
Sur l’astre lunaire,
Par une de ces coliques,
Une colique inhumaine !
Amis poètes, bonsoir…..
1 commentaire:
Etonnant ! On y trouve plus facilement l'alcoolique que la colique...
Enregistrer un commentaire