Philippe Marlin. Ma vie, mes œuvres, mes emmerdes
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L’année 2019 ne s’est pas terminée sans nous réserver un dernier avatar : un livre de Claude Arz, consacré à Philippe Marlin
(à la ville, Philippe Miécret), sous la forme d’un long entretien, qui
s’est égrené entre février 2018 et avril 2019, avec ce sous-titre : Un enfant de Planète.
Il ne s’agit pas de la planète Mars, mais bien de cette revue née au lendemain de l’engouement suscité par la parution du Matin des magiciens de Pauwels et Bergier.
Philippe Marlin s’y épanche en amont et en aval. Il raconte son métier de banquier, d’éditeur et de libraire. Il parle de ses rencontres (littéraires et intellectuelles) et de ses passions destroys (vampires, OVNI’s, sciences empiriques, hermétisme, etc). Mais, surtout, il saupoudre son récit de ses souvenirs Rhédesiens.
Notamment, sa découverte de Rennes en 1973 et l’achat de la librairie Empreinte en 2004. Il tombe juste au moment du Da Vinci Code, qui le grise et booste les ventes. Dans le même temps, Henry Lincoln devient son ami, ce qui n’est pas sans le flatter.
En revanche, petit coup de griffe à Dédé la Maquette, qui n’est qu’une réaction de dépit puisque notre narrateur a longtemps cru que ce moule théologique était la « carte au trésor » de l’abbé Saunière.
Vint l’année 2011 où il est lui-même surpris par l’impact de l’affaire du pech d’En Couty. Etre passé au 20 h de TF1 a été un moment intense pour lui. Bien sûr, n’en connaissant ni les tenants ni les aboutissants, il l’a juge, à posteriori, « ridicule ».
En revanche, ce fut pain béni que ce pataquès de Fin du monde à Bugarach en décembre 2012, où notre ami s’est joyeusement engouffré.
Mais en 2016, il fut brutalement rappelé à la réalité. Les deux librairies conjointes, celle de la Rennes d’en Haut et celle de la Rennes d’en Bas, furent mises en cessation de paiement. Et comme il le souligne : « Il y a des moment dans la vie où il vaut mieux se couper un bras que voir son corps disparaître. » En même temps, il sacrifiait les déposants qui lui avaient accordé leur confiance.
Peut-être lirons-nous un jour ce livre sur les mystères de Rennes que prépare Jean-Marie Villette depuis plusieurs années, destiné aux éditions de l’O.D.S., mais envers lequel Philippe Marlin déplore qu’il soit « extrêmement lent à l’écriture ».
En attendant, l’ami Marlin peut se rassurer de détenir dans sa bibliothèque des livres ayant appartenu à l’abbé Saunière. Ainsi que le rappelle ce proverbe chinois : C’est de dormir toute la vie, que de croire en ses rêves.
Il ne s’agit pas de la planète Mars, mais bien de cette revue née au lendemain de l’engouement suscité par la parution du Matin des magiciens de Pauwels et Bergier.
Philippe Marlin s’y épanche en amont et en aval. Il raconte son métier de banquier, d’éditeur et de libraire. Il parle de ses rencontres (littéraires et intellectuelles) et de ses passions destroys (vampires, OVNI’s, sciences empiriques, hermétisme, etc). Mais, surtout, il saupoudre son récit de ses souvenirs Rhédesiens.
Notamment, sa découverte de Rennes en 1973 et l’achat de la librairie Empreinte en 2004. Il tombe juste au moment du Da Vinci Code, qui le grise et booste les ventes. Dans le même temps, Henry Lincoln devient son ami, ce qui n’est pas sans le flatter.
En revanche, petit coup de griffe à Dédé la Maquette, qui n’est qu’une réaction de dépit puisque notre narrateur a longtemps cru que ce moule théologique était la « carte au trésor » de l’abbé Saunière.
Vint l’année 2011 où il est lui-même surpris par l’impact de l’affaire du pech d’En Couty. Etre passé au 20 h de TF1 a été un moment intense pour lui. Bien sûr, n’en connaissant ni les tenants ni les aboutissants, il l’a juge, à posteriori, « ridicule ».
En revanche, ce fut pain béni que ce pataquès de Fin du monde à Bugarach en décembre 2012, où notre ami s’est joyeusement engouffré.
Mais en 2016, il fut brutalement rappelé à la réalité. Les deux librairies conjointes, celle de la Rennes d’en Haut et celle de la Rennes d’en Bas, furent mises en cessation de paiement. Et comme il le souligne : « Il y a des moment dans la vie où il vaut mieux se couper un bras que voir son corps disparaître. » En même temps, il sacrifiait les déposants qui lui avaient accordé leur confiance.
Peut-être lirons-nous un jour ce livre sur les mystères de Rennes que prépare Jean-Marie Villette depuis plusieurs années, destiné aux éditions de l’O.D.S., mais envers lequel Philippe Marlin déplore qu’il soit « extrêmement lent à l’écriture ».
En attendant, l’ami Marlin peut se rassurer de détenir dans sa bibliothèque des livres ayant appartenu à l’abbé Saunière. Ainsi que le rappelle ce proverbe chinois : C’est de dormir toute la vie, que de croire en ses rêves.
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