Cet ouvrage aurait pu s’intituler Petit Traité d’herméneutique kabbalistique. Dans le temps d’une écriture et pour la fugacité d’une lecture, cette science sacrée a survolé un archipel d’îlots épars. Par-dessus ceux-ci, l’Arbre de Vie a placé sa fonction organisatrice dans un glyphe fondateur, sceau de vies possibles. L’écharpe infinie de l’Alephbeth s’est déroulée pour révéler un aspect singulier du langage du monde.A.E. : derrière ce pseudonyme inspiré du tarot, se devine, comme le dit son biographe Henry Summerfeld, un homme à l’esprit myriadique, instruit par sa propre poésie qu’il a nommée « rétrospective ». Il a murmuré à l’auteur le titre de cet opuscule et lui a servi de guide tutélaire dans ce dévoilement. Dans son firmament intérieur, sa radiation est majeure.Pierre-Jean Canquouët, né en 1944, a rencontré une vie d’informaticien. A l’heure de la haute retraite, il a retrouvé ses projets profonds : la poésie, la musique et la kabbale. Il se promène dans les trous de ver de l’astrophysique par-delà les trous noirs si troublants – échappant à la tyrannie de la gravité et de la densité dans les libres pages de l’immédiateté imaginale.
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