mercredi 24 avril 2024

LE 15 AOUT A PROVIDENCE


 

ON CAUSE TOUJOURS A RHEDAE

 


MARIE MAITRE RAFLE TOUT !


 




LE CHIEN DE PLEUVEN


 

LA FRATERNITE DES SEPT ROIS, Meade & Eustace

 


Dans la Collection RDN'Books


« Les récits de L.T. Meade et de ses collaborateurs présentent souvent des femmes maléfiques particulièrement douées pour imaginer des crimes ingénieux, auxquelles s’opposent des détectives amateurs doublés d’hommes de science. C’est le cas du roman que nous vous présentons ici, dont les héros ne sortiront pas indemnes de leur affrontement avec la redoutable Madame Koluchy. »

 

Chez EODS et Rivière Blanche

mardi 26 mars 2024

QUELQUES LEGENDES POUR LA NUIT ?

 Un ouvrage de l'ODS d'ores et déjà en vente sur AMAZON.



dimanche 24 mars 2024

LA CONSPIRATION JEANNE D'ARC, Gérald Messadié

 Une note de Rémi Boyer (La Lettre du Crocodile)


La conspiration Jeanne d’Arc (deux tomes) par Gerald Messadié. Editions de L’œil du Sphinx, 36-42 rue de la Villette, 75019 Paris – France.

www.oeildusphinx.com

Alors que des documentaires télévisuels cherchent à mieux cerner l’histoire de Jeanne d’Arc (1412-1431), Les Editions de L’œil du Sphinx ont la belle idée de publier le dernier ouvrage de Gerald Messadié (1931-2018) consacré à cette figure de l’histoire comme du roman national français.

L’érudition extraordinaire de Gerald Messadié, sa capacité à l’analyse critique, son écriture stylée, lui ont permis de publier des ouvrages de référence sur beaucoup des grandes figures de la culture occidentale, interrogeant l’histoire convenue et les mythes. L’Homme qui devint Dieu, consacré à Jésus fut un grand succès. Parmi ses très nombreux ouvrages, signalons ceux consacrés à la Bible, au diable, à Mahomet, à Moïse, à Judas, à Marie-Madeleine ou au comte de Saint-Germain… optant soit pour l’essai soit, comme c’est le cas pour Jeanne d’Arc, pour le roman historique.

S’il se passionna pour les avant-gardes comme pour les traditions ésotériques ou l’histoire des religions, il fut un esprit scientifique, rédacteur en chef adjoint de Sciences et Vie pendant un quart de siècle, nous rappelle Joseph Vebret dans une préface qui est aussi un hommage à l’homme et à l’auteur :

« D’une culture phénoménale, nous dit-il, d’un savoir-vivre malheureusement démodé, usant d’un style soutenu et de tournures parfois délicieusement surannées, Gerald Messadié était d’un autre temps. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, ce pourfendeur de la bêtise humaine aurait été reconnu à sa juste valeur et se serait assurément fait une place aux côtés des plus grands, par sa personnalité, son style littéraire, sa force créatrice et sa propension à composer de vastes fresques. Il y avait chez lui un côté baudelairien, un spleen profond, une détestation de son siècle ; un albatros doublé d’un antimoderne – il n'avait ni téléphone portable ni internet – néanmoins passionné par les avancées de la science. L’esprit constamment en éveil, aucun sujet ne lui était inconnu. »

Son Jeanne d’Arc fut achevé peu de temps avant sa mort, il clôt ainsi une œuvre qui compte et présente une certaine valeur testamentaire, par l’écriture, par la rigueur de la recherche, par l’orientation de la pensée.

Comme toujours dans les ouvrages de Gerald Messadié, particulièrement quand il fait le choix du roman historique, l’appareil de notes est de première importance car il rend compte de l’état de ses recherches sur les faits et indique ses sources.

Nous sommes, dans ce roman, à la fois pris dans une aventure épique et dans une démarche de démystification. Alors que Jeanne d’Arc reste l’enjeu d’appropriations religieuses ou politiques diverses, elle apparaît dans ce livre sous des angles inhabituels, mettant à mal ces appropriations très abusives. Gerald Messadié questionne et déconstruit les discours plaqués sur la sainte pour résoudre quelques énigmes ou mystères et faire apparaître une figure autre qui, si elle n’est pas totalement mise à nu, permet de mieux comprendre les faits et en tout cas de ne plus se laisser prendre par une légende savamment organisée et entretenue.

« D’un point de vue historique, signale Gerald Messadié dans sa postface, je crois l’avoir démontré dans les notes qui étayent le récit, les documents d’époque sont aussi douteux que les interprétations successives de l’histoire furent un tissu d’affabulations. Les faits avérés sont peu nombreux et ils contredisent toute l’imagerie d’Epinal qu’il est convenable de suivre. Les textes des procès en condamnation et en réhabilitation invitent tout deux à la circonspection et parfois suscitent le pessimisme, sinon l’incrédulité. »

Le roman, qui se lit avec plaisir, met en évidence une pensée logique et une analyse précieuse du fait. Il existe une méthode Gerald Messadié, rigoureuse, et un talent littéraire, ici conjugués pour le bonheur du lecteur.

AVEZ-VOUS ETE CHOISI ?

 

 


 

 

chers amis, chères amies,

Je me permets d'attirer votre bienveillante attention sur un nouveau livre que je publie demain 22 mars : Les fantômes comme les chats choisissent leurs maîtres, La Baconnière, 264 p. (le titre est une citation d'Hubert Haddad).
Il s'agit de la suite du Journal d'un amateur de fantômes, publié en 2018 et qui couvrait les années 2011 à 2018. Cette suite porte sur les années 2018 à 2023 et contient les ingrédients qui ont fait le succès de la saison 1 : histoires de fantômes, notes de lectures, commentaires de films, d'expositions, de faits d'actualité, pensées de haut vol, autobiographèmes, etc. Vous pourrez vous faire une idée de mes nouvelles fantasmagories en lisant la fiche de presse et l'excellente chronique de Michel Audétat que je mets en pièces jointes.
Si je vous adresse ce courriel, c'est parce que vous avez fait bon accueil aux élucubrations pneumatologiques que je développe depuis plus de vingt ans (j'essaie d'arrêter, mais, comme l'indique mon titre, ce n'est pas facile). Certains et certaines d'entre vous, qui m'ont fourni des anecdotes ou ont contribué d'une manière ou d'une autre aux événements que je raconte, se retrouveront d'ailleurs dans ce livre !
Merci à toutes et à tous de votre fidélité et de votre attention.
Bonne lecture !

Bien à vous

Daniel Sangsue


PS - dédicaces à la Librairie Payot d'Yverdon-les-Bains le samedi 30 mars de 10h. 30 à 12 h.; à la Boutique du livre à Neuchâtel le 6 avril à 11 h.; à la Librairie Pages d'encre à Delémont le 20 avril de 10 à 12 h.; à la Librairie Payot de La Chaux-de-Fonds le 18 mai de 10 h. 30 à 12 h.

SUR LE PONT DU PARANORMAL


 

dimanche 10 mars 2024

JE EST UN. MONSTRE, Colette Klein

 

Article de Claire BOITEL paru dans la revue Phoenix n° 40 de décembre 2023.

 

 

 

Colette Klein, JE est un monstre, Nouvelles, Les Éditions de l’Œil du Sphinx, 228 p., 12 €.

 

 

Dans ce recueil de 21 nouvelles, Colette Klein décline les genres de fantastique, jusqu’à en inventer de nouveaux ! Dans « Le Train », situation banale s’il en est : un homme monte dans un train, le quotidien est vu par le prisme d’une surréalité, il ne se passerait rien mais monte comme un brouillard de l’esprit une brume étrange… Une atmosphère jamais éprouvée, jamais vue, tel un personnage, s’installe sur le siège, et ne décolle pas. Cette atmosphère bizarre, c’est le temps.

Dans ces nouvelles, l’espace même est touché par cette temporalité étrange, puisqu’on a affaire à un espace hors du temps, un monde parallèle qui n’en a pas moins une influence fatale sur les personnages. Ce monde parallèle s’implante partout comme une ombre dont aucun soleil ne peut venir à bout, tapi dans des zones apparemment bien délimitées, connues voire touristiques comme la Chaise-Dieu et son abbaye ou la tour Solidor de Saint-Malo. À partir de situations que tout le monde est plus ou moins amené à vivre, notamment les familles qui visitent, qui voyagent, les innocents touristes, Colette Klein dit : Stop ! 

Stop ! Vous n’avancerez pas plus loin sans vous poser les questions existentielles, les interrogations magiques !

Une grande solitude hante les personnages, même quand ils ne sont pas seuls, solitude qui fait loupe et verre déformant comme la « poussière de verre » que reçoit dans l’œil le petit Kay au début du fameux conte La Reine des neiges d’Hans Christian Andersen, éclat du mal qui tache la vision du monde mais aussi éclat de l’extraordinaire puisqu’il est à l’origine d’une histoire fantastique. 

Rien de tel que la solitude pour voir et entendre en soi et autour de soi ce qui sans exister fait peur, et ensuite, par l’écriture, extérioriser ses condamnations intérieures et leur donner la chair de personnages.

« La fluidité de ses visions accentuait le vide, le transformait en réceptacle, en miroir. Les êtres qu’il avait connus défilèrent devant lui. Ils faisaient signe de la main et s’effaçaient d’eux-mêmes, gommés par une présence d’une autre nature. Une buée l’entoura qui devint souffle. »

Colette Klein est aussi peintre, et peintre qui parvient à réunir abstraction et fantastique : on croit voir émerger dans ses tableaux des silhouettes, des châteaux, des vues d’un enfer rouge ou d’un abysse bleu mais en sommes-nous certains et comment ces dentelles tracées au couteau deviennent-elles motif intérieur, vision ? Ainsi dote-t-elle son livre d’une illustration de couverture énigmatique— apocalypse de corps s’envolant d’un roc ?                                              

 

Note de Claire Boitel

 

AG DE L'ODS LE SAMEDI 20 AVRIL

 


 

 

 

L’ODS fête cette année ses 36 Ans

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU SAMEDI 20 AVRIL 2024

 

Cette manifestation est réservée aux membres à jour de leur cotisation. Elle est toujours de 30 €

 

Avec toutes nos excuses pour le bug de la convocation précédente. Et en espérant que la SNCF n’aura pas la mauvaise idée de se mettre en grève.

 

A 18h30 à la Pizzeria Les Comédiens, 33 rue des Alouettes, Paris 19e (plateau de Belleville, métros Botzaris, Buttes-Chaumont ou Jourdain).

 

L’Assemblée Générale de l’association aura lieu à partir et 18h30 et sera suivie d’un dîner à 20h pour ceux qui le souhaitent.

Elle sera l’occasion de faire le point de nos activités quelque peu chahutées ces deux dernières années (décès, maladies, confinement…)

Quelques remarques en vrac :

° Il n’y aura pas d’exposé structuré cette année parallèlement à la réunion, mais un espace libre pour ceux qui voudraient échanger sur un projet qui leur tient à cœur.

° Le programme de publications qui vous sera présenté est particulièrement lourd.

° Le menu est à 20.- € (boissons et dessert non inclus, paiement sur place)

 

Entrée : assiette de charcuterie OU tomate-mozzarella

Plat : Escalope milanaise OU escalope au gorgonzola OU assiette de pâtes garnies OU pizza (4 saisons, 4 fromages, orientale ou napolitaine). Merci de nous indiquer vos choix en vous inscrivant afin que le restaurateur puisse prévoir les quantités

 

BULLETIN D’INSCRIPTION

 

Je soussigné

 

Nom

 

Prénom

 

Adresse

 

Participerai à l’AG de l’ODS

 

Participerai à l’AG de l’ODS et au dîner amical qui suivra. Je choisis les plats suivants :

 

Participerai au seul dîner amical qui suivra. Je choisis les plats suivants :

 

Ne participerai pas à l’AG de l’ODS et donne procuration

-       au Président

-       à un membre du Conseil que j’indique :

Je retourne ce bulletin à l’association.


 

 

 

 


-

Association et Éditions de l’œil du Sphinx

Philippe Marlin

36.42 rue de la Villette

75 019 Paris

tél 09 75 32 33 55 & 06 11 72 38 06

Fax 01 42 01 05 38

philippe.marlin@oeildusphinx.com

WWW.oeildusphinx.com

http://lebibliothecaire.blogspot.com/

Facebook, Philippe Marlin

 

 

 

 



[1] 40 € pour une cotisation couplée avec « Portes de Thélème », l’association des « Amis de Jean-Charlis Pichon ».

lundi 26 février 2024

YANN BIENAIMÉ, LE FILS (Secret) de BOB MORANE

 Il sera en dédicace ce samedi 2 mars à la librairie "Le Verbe et l'Objet" à Senlis. Voilà ce que Rémi Boyer dit de son livre dans "La Lettre du Crocodile" :


Le jaguar se fait oublier

Yann Bienaimé

Editions de L'œil du Sphinx, 36-42 rue de la Villette, 75019 Paris – France – www.oeildusphinx.com

Ce roman d'aventures, très autobiographique, qui couvre plus de cinquante années d'une vie trépidante, est plein d'enseignements sur ce qu'est l'être humain, sur sa nature hautement sociale.

Yann a le goût des autres et le goût de l'aventure, particulièrement de l'aventure africaine, toujours bouleversante.

« L'agent d'état civil de la mairie de Brive-la-Gaillarde ayant refusé d'enregistrer le prénom Yann choisi par mes parents, ceux-ci optèrent dans la précipitation pour Yves. Cette double appellation, l'une administrative, l'autre affective, va certainement participer à l'émergence de ma personnalité ambivalente. Tout à la fois effacé, respectueux, je réponds docilement aux injonctions de l'enfance, fais plaisir, sois fort, sois parfait, dépêche-toi, fais des efforts ! Dissimulant les démons tapis dans les demeures de mon château intérieur, hanté par le vertige métaphysique de « 2001 l'odyssée de l'espace », la folie délirante de « Vol au-dessus d'un nid de coucou », la sauvagerie de « Délivrance », les torrides et lascives contorsions reptiliennes de Carole Laure dans « La mort d'un bûcheron », l'ultra-violence d'« Orange mécanique » et l'érotisme rafraîchissant de Jane Fonda dans « Barbarella ».

Qui se cache dans Yann ? Qui se cache dans Yves ? Parfaite illustration de « L'étrange cas du docteur Jekyll et de M. Hyde ».

Ces singularités, je vais les mettre à profit au fil du temps pour dépasser mes limites intellectuelles. Me fondre dans la masse, faire le caméléon, nouer des amitiés, au final, aimer les gens. Ce qui me fait dire aujourd'hui « La seule chose qui vaille dans la vie, ce sont les rapports humains ».

Beaucoup de lecteurs de la génération de Yann, qui a vu ou fait exploser les carcans et préjugés hérités des années 50, pour mordre la vie à pleines dents, se retrouveront dans le train des rencontres qu'il met en scène chronologiquement dans son livre.

Nous découvrons, ou nous rappelons, des temps où tout semblait possible, où l'aventure était au coin de la rue aussi bien qu'à des milliers de kilomètres, où la liberté n'était pas soumise à autorisations multiples. Les contradictions des êtres humains, qui fondent bien souvent leur richesse, apparaissent dans leurs relations, les dits et les non-dits, le visible et le caché. Chocs des individus, chocs des cultures et malgré tout la rencontre, il s'agit de se faufiler dans le modèle du monde de l'autre pour en apprécier toutes les possibilités.

Il s'agit avant tout d'expériences partagées, de découvertes, d'une vie qui se déploie, avec ses joies et ses souffrances, parsemées de références cinématographiques, télévisuelles, littéraires, chansonnières... de photographies aussi, qui viennent témoigner ou souligner. La mémoire est étrange. Par ses choix et ses oublis, elle dit beaucoup sur nous-mêmes et sur le monde. Elle reste charnelle, c'est ce que dit le corps qui compte, loin des commentaires distanciés et conceptuels.

Yann Bienaimé sait que les souvenirs peuvent être trompeurs, il sait aussi qu'ils sont une vraie matière de la vie. Les jeter sur le papier n'est pas anodin, c'est toujours délivré un message et tenter de résoudre l'énigme qu'est toute expérience humaine.

 

Samedi 02 mars à partir de 10h30
Librairie "Le verbe et l'objet" 14 place Henri IV à Senlis.



mercredi 21 février 2024

ESPIONS SUR LE FLEUVE NOIR, Patrice Allart

  

 

Photo Marie Maitre
Depuis maintenant plus de soixante ans, le nom de James Bond vient immédiatement à l’esprit de chacun lorsqu’il est question d’espionnage. Tous les pays, surtout durant les années soixante, l’Âge d’Or du genre, ont eu leurs clones du héros de Ian Fleming, mais aucun n’a connu le succès, loin s’en faut, du super-espion anglais. A l’heure actuelle, beaucoup d’entre eux ne sont plus que des parodies bondiennes, comme le français OSS 117 interprété par Jean Dujardin. Déjà dans les années soixante, lorsque le personnage imaginé par l’écrivain Jean Bruce était un populaire héros de cinéma bien plus sérieux, il était généralement considéré comme un sous-Bond. Alors qu’il est apparu dans les rayons des kiosques en 1950, au sein de la collection espionnage du Fleuve Noir, maison d’édition créée seulement l’année précédente avec la collection Spécial Police où débutait Jean Bruce. 1950, soit trois ans avant la parution de la première aventure littéraire de James Bond. En réalité, le succès francophone de OSS 117 a été immédiat et n’a rien dû à celui, plus tardif et plus lent, de James Bond. Et après le départ de Jean Bruce pour les plus importantes Presses de la Cité, le succès de la collection du Fleuve Noir a perduré, profitant de celui des James Bond cinématographiques dans les années soixante, avec d’autres populaires super-espions, tels Coplan, Face d’Ange, le Vicomte ou TTX 75, plagiats de OSS 117 plutôt que de Bond.
Lorsqu’il ne travaille pas pour le gouvernement (comme Bond ou OSS 117 ? Non, pas vraiment !), Patrice Allart écrit sur les littératures de l’imaginaire chères à l’OEil du Sphinx. Mais il lui est arrivé d’aborder des domaines de fiction plus réalistes, comme l’espionnage à qui il a consacré Le roman d’espionnage anglo-saxon après le Watergate (éditions de l’OEil du Sphinx, 2021), espionnage à l’anglo-saxonne (éditions Monster-Bis, 2005) et Opérations Commandos au cinéma (Monster-Bis, 2009).

 

HISTORIA OCCULTAE NO 15

 Il vient d'arriver à l'ODS (et sur Amazon)

 


 

Quelques notions philosophiques relatives au Seitaï d’H. Noguchi,
par Emmanuel Thibault
 

Au Commencement « sera » le Verbe, par Christian de Caluwe
 

Tobit, héros du quotidien, par Michelle Nahon
 

Du tronc de la Veuve aux enfants de la Veuve, par Christian de Caluwe
 

Les cinq points parfaits de la maîtrise, par Christian de Caluwe
 

Richard Khaitzine et les Éditions Venus d’Ailleurs, par David Nadeau
 

Notes de lecture

samedi 3 février 2024

LE JAGUAR SE FAIT OUBLIER, Yann Bienaimé

 


LES AVENTURES DU FILS DE BOB MORANE ENFIN A L'ODS

« La Talbot 1500 blanche file dans un long travelling sur le pont Général de Gaulle, direction le Novotel, quartier du Plateau à Abidjan.
La conversation va bon train avec mon chauffeur à propos de quelques déboires financiers de notre chef mécanicien. Je me creuse la tête pour lui trouver une solution.
"Monsieur Yann, vous êtes trop sentimental" finit-il par me lancer posément de sa voix grave.
Après avoir négocié la grande courbe de la bretelle de l’échangeur et remonté la rue du Commerce, la voiture s'immobilise devant l'hôtel. Jean Levi's, chemise claire, manche courte, je sors de l'auto et pénètre tranquillement dans le vaste hall d'entrée.»
L'histoire d'un gars ordinaire, confronté aux arcanes du hasard et de la providence.
Une collection d'expériences et d'aventures romanesques ponctuée de rencontres improbables et d'énigmes insolubles.
Une étonnante enquête de vie. Un récit vrai.

https://www.amazon.fr/dp/2380140812