J’ai pris beaucoup de plaisir à lire Horreur à Arkham, Le dernier rituel, S.A. Sidor (404 éditions, 2021). Une fiction néo-lovecraftienne, bien écrite et qui ravira tous ceux qui adorent se balader à Arkham. Alden Oaks, peintre maudit et dilettante devant l’éternel, rentre dans sa bonne ville natale d’Arkham pour assister au mariage de son ami Preston avec son ex, Minnie. Il a découvert, au cours de son périple en Europe d’étranges symboles, et participé à une cérémonie impie en Espagne où il crut reconnaitre le plus grand artiste surréaliste de l’époque, un certain Balthazar. Il finira par s’installer à la « Colonie » d’Arkham, ancien hôtel particulier devenu une sorte de maison des artistes ». Il y retrouvera Nina, ex de Preston, qui mène une enquête pour écrire un livre sur les crimes odieux qui ont défrayé récemment la petite ville. Alden se joint à elle et, ensemble, ils découvriront autour de ces meurtres des éléments laissant penser à des crimes rituels. Je ne spolierai pas la chute, sinon pour dire qu’à l’occasion d’un bal masqué organisé par Balthazar de passage dans la cité, nos deux investigateurs découvriront « d’autres dimensions ».
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