26/04/2012 | 19:00
Connues depuis les Romains pour leurs vertus thérapeutiques, les
nombreuses sources d’eau sulfurées d’Ax (les plus chaudes des Pyrénées)
alimentent aujourd’hui bassins, fontaines et établissements thermaux,
constituant un des socles de l’économie de ce bourg de 1500 habitants.
Une réputation qui est arrivée jusqu’au pays du soleil levant puisque ce matin, une équipe de tournage de la télévision japonaise «BS-Nihon» était sur site pour réaliser un reportage sur les sources d’eau chaudes d’Ax.
Le Japon est un pays volcanique, les sources d’eau chaude ne manquent pas et l’on trouve un peu partout des «onsen» (bain thermal japonais), véritables lieux de détente et de méditation faisant partie intégrante de la culture nipponne.
Si bien que Yoshida Satoshi, réalisateur pour BS-Nihon, parcourt tous les continents à la recherche des sources chaudes du monde qu’il immortalise à travers ses reportages pour une émission très connue au Japon intitulée: «Sekai Onsen-Isan» (Voyages aux sources d’eau chaudes du monde).
Après les sources de la Bourboule en Auvergne, celles des Pyrénées orientales, ce printemps l’équipe de tournage tokyoïte s’attaque à l’Aude (Alet, Rennes les Bains) et à l’Ariège. A Rennes-les-Bains, les équipes japonaises ont été accueillies par Jean-Jacques Mazet, de l'Hostellerie, qui leur a fait goûter l'excellente morue de la Salz.
C’est Hiromi Kimura, journaliste interprète, qui a organisé ce «voyage en terre inconnue» en relation avec Sylvie Couderc, chef de projet du développement thermal à Ax les Thermes.
Interview du maire, des élus, découverte de la ville, de ses bassins et fontaines, visite des forages, des établissements du Tech et du Couloubret avant de se rendre aux sources d’eau chaude de Mérens les Vals.
Une équipe de terrain constituée de professionnels, Kinya Honobe (caméra) et Saori Yanagi (son), basée à Paris, donc mobile et capable d’intervenir sur toute l’Europe.
Hiromi intervient quant à elle quand les sujets sont tournés en pays francophones.
«Tous les Japonais connaissent les sources chaudes de leur pays mais ils ne savent peut-être pas qu’en dehors du Japon il existe de merveilleuses sources chaudes que nous avons eu envie de leur faire découvrir à travers cette émission qui a commencé il y a un an» explique Yoshida Satoshi à l’origine de ce projet de documentaire.
«Jusqu’à présent le thermalisme était réservé à une clientèle française et thérapeutique, alors qu’on se rend compte que le simple fait d’avoir une eau chaude attire une équipe de TV japonaise… c’est le pouvoir d’attraction que représente l’eau thermale pour une clientèle internationale !» explique Pierre Peyronne, maire d’Ax les Thermes, conscient de la nécessité de redévelopper le tourisme thermal, souvent négligé pour l’or blanc de la station d’Ax 3 Domaines.
C’est ce que les élus comptent faire à travers le plan de développement du thermalisme 2012-2014 labellisé en Pôle d’excellence rurale.
Quant aux forts contingents de touristes japonais qui pourraient arriver en Haute Ariège après la diffusion de cette émission, le premier magistrat est serein: «en multipliant par deux le chiffre d’affaires de la station de ski nous avons multiplié par trois les capacités d’hébergements… avec 30 000 lits nous sommes devenu leader en développement touristique dans le département de l’Ariège !»
Une réputation qui est arrivée jusqu’au pays du soleil levant puisque ce matin, une équipe de tournage de la télévision japonaise «BS-Nihon» était sur site pour réaliser un reportage sur les sources d’eau chaudes d’Ax.
Le Japon est un pays volcanique, les sources d’eau chaude ne manquent pas et l’on trouve un peu partout des «onsen» (bain thermal japonais), véritables lieux de détente et de méditation faisant partie intégrante de la culture nipponne.
Si bien que Yoshida Satoshi, réalisateur pour BS-Nihon, parcourt tous les continents à la recherche des sources chaudes du monde qu’il immortalise à travers ses reportages pour une émission très connue au Japon intitulée: «Sekai Onsen-Isan» (Voyages aux sources d’eau chaudes du monde).
Après les sources de la Bourboule en Auvergne, celles des Pyrénées orientales, ce printemps l’équipe de tournage tokyoïte s’attaque à l’Aude (Alet, Rennes les Bains) et à l’Ariège. A Rennes-les-Bains, les équipes japonaises ont été accueillies par Jean-Jacques Mazet, de l'Hostellerie, qui leur a fait goûter l'excellente morue de la Salz.
C’est Hiromi Kimura, journaliste interprète, qui a organisé ce «voyage en terre inconnue» en relation avec Sylvie Couderc, chef de projet du développement thermal à Ax les Thermes.
Interview du maire, des élus, découverte de la ville, de ses bassins et fontaines, visite des forages, des établissements du Tech et du Couloubret avant de se rendre aux sources d’eau chaude de Mérens les Vals.
Une équipe de terrain constituée de professionnels, Kinya Honobe (caméra) et Saori Yanagi (son), basée à Paris, donc mobile et capable d’intervenir sur toute l’Europe.
Hiromi intervient quant à elle quand les sujets sont tournés en pays francophones.
«Tous les Japonais connaissent les sources chaudes de leur pays mais ils ne savent peut-être pas qu’en dehors du Japon il existe de merveilleuses sources chaudes que nous avons eu envie de leur faire découvrir à travers cette émission qui a commencé il y a un an» explique Yoshida Satoshi à l’origine de ce projet de documentaire.
«Jusqu’à présent le thermalisme était réservé à une clientèle française et thérapeutique, alors qu’on se rend compte que le simple fait d’avoir une eau chaude attire une équipe de TV japonaise… c’est le pouvoir d’attraction que représente l’eau thermale pour une clientèle internationale !» explique Pierre Peyronne, maire d’Ax les Thermes, conscient de la nécessité de redévelopper le tourisme thermal, souvent négligé pour l’or blanc de la station d’Ax 3 Domaines.
C’est ce que les élus comptent faire à travers le plan de développement du thermalisme 2012-2014 labellisé en Pôle d’excellence rurale.
Quant aux forts contingents de touristes japonais qui pourraient arriver en Haute Ariège après la diffusion de cette émission, le premier magistrat est serein: «en multipliant par deux le chiffre d’affaires de la station de ski nous avons multiplié par trois les capacités d’hébergements… avec 30 000 lits nous sommes devenu leader en développement touristique dans le département de l’Ariège !»
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