20 – El Maida (72 rue de Belleville, 75020 Paris). Belle surprise que
ce tout nouveau restaurant algérien, au pied de la demeure d’Edith Piaf.
C’est
petit, convivial et délicieux. Le couscous est fameux, les tajines goûteuses et
les briks craquantes.
Une mention spéciale aux brochettes qui font place aux
abats (foie, rognon) et servies avec des frites bien dorées. Et si vous voulez
du vin, on vous répondra avec sourire qu’il n’y en a pas mais qu’il suffit de
traverser la rue pour en acheter une bouteille (sans droit de bouchon !).
Hayet Ayad, une compatriote de Kabylie a certifié ce restaurant conforme aux
strictes normes du Croissant Étoilé.
09 – L’Orient d’Or (22 rue de Trévise, 75009 Paris, tél 01 48 00 07 73, http://www.odo-fuyuanfeng.com/). Un
restaurant traditionnel de la Province du Hunan, ça mérite un contrôle qualité.
Et on ne sera pas déçu, avec une carte particulièrement riche dans laquelle le
piment est le roi. A tester dans les entrées le bœuf séché aux herbes ou cette
excellente effilochée de fraise de veau, à la ciboulette et aux piments (photo).
Puis
on hésitera entre les pieds de cochon à la sauce rouge, la marmite de tripes de
porc (aux piments) ou cette excellente poitrine de porc braisée à la
ciboulette.
Une petite mention également à la fricassée d’agneau du pays aux
mille saveurs. Attention, le restaurant est bondé à midi !
Tous les castelrennais connaissent et apprécient George. Il a perdu sa fille hier, qui s'est éteinte à Fa au terme d'une cruelle maladie. Toutes nos condoléances, mon cher George, tous les amis partagent ta peine.
Nous avions adoré le premier tome
des aventures de Susylee, Les Poussières
de l’Aube et attendions avec impatience la suite de la saga de Cathy
Coopman. La Clef des Souvenirs Rivière
Blanche, 2014) nous entraîne cette fois au Vietnam où la charmante
écrivain-vampire part à la recherche de ses sources, et plus particulièrement
de son géniteur, celui qui l’a fait basculer dans la famille des enfants de la
nuit. L’ouvrage est du reste tellement documenté sur l’ancienne Indochine que
l’on croirait lire un guide de voyage ! Inutile donc d’acheter le Guide du Routard si vous allez visiter
ce merveilleux pays. Cela dit, il y a quelque chose qui m’a gêné et souvent
empêché de vraiment rentrer dans le récit. Nos amis vampires ont tellement de
pouvoirs extraordinaires (lévitation, téléportation, lecture des pensées, force
terrifiante…) que lesparties sont
souvent jouées d’avance, donnant à l’action un air un peu trop
« téléphoné ».
Quelques petites perles
cependant :
-La gastronomie vampirique est vraiment le truc de Cathy
Coopman. Elle nous entraîne dans d’étonnants restaurants pour vampires où l’on
peu choisir son « humain à déguster ». La courtoisie veut qu’après
s’être rassasié, on lui offre une collation reconstituante. Une formule très
pratique aussi pour le pique –nique, puisqu’on peut emmener sa nourriture avec
soi.
-Je ne connaissais pas les « reverse-vampires ».
Ils sont très présents ici, sous forme d’humains suceurs de sang de vampire, ce
qui ne procure certes pas l’immortalité mais contribue à donner une étonnante
longévité.
Allez, on attend la suite : Susylee va-t-elle sauver le monde ?
Ce n'est pas parce qu'il s'est tenu à Rennes-le-Château (Aude), réputé pour être le village le plus ésotérique de France,
à quelques kilomètres du légendaire Pech de Bugarach où certains ont
guetté la fin du monde en 2012, que le deuxième congrès des ufologues
n'est pas une affaire sérieuse.
Une soixantaine de passionnés s'y sont rassemblés hier pour assister à
des communications basées exclusivement sur des observations
scientifiques. « Les fantaisistes ont pollué et gravement gâché
l'ufologie », assène Philippe Marlin, éditeur, et
organisateur de ce congrès qui rassemble des spécialistes des phénomènes
inexpliqués, des vrais : ceux qu'il convient de distinguer des canulars
numériques foisonnant sur le Net. « On peut très facilement fabriquer
des images. Il faut analyser la vidéo et vérifier qu'il ne s'agit pas de
la Station spatiale internationale », explique Gilles Thomas, qui
dirige une webtélé sur les ovnis. Car on n'en a jamais vu autant, ou
tout du moins jamais cru en voir autant. « La multiplication des drones
par exemple est un nouveau facteur de méprises pour des observations qui
tournent souvent autour de phénomènes lumineux », poursuit Didier Gomez
du magazine « UFOmania ».
« Quand on retire des archives de l'ufologie ces observations
incertaines, il reste encore 22 % des témoignages validés, souvent
recoupés, pour lesquels on ne peut pas fournir d'explications
rationnelles. Ces dossiers nous intéressent », estime Thibaut Canuti,
ufologue varois, en se gardant de donner une explication sur l'origine
de ces phénomènes.
Il a concentré ses recherches sur la multiplication des observations
d'ovnis à proximité immédiate de sites nucléaires stratégiques. Il cite
des cas aux Etats-Unis, mais aussi en Provence sur le plateau d'Albion,
alors site nucléaire
stratégique, ou à Tchernobyl après la catastrophe. « Il s'agit d'un
phénomène furtif et discret. Nous possédons des éléments sérieux étayés
par des témoignages de militaires », poursuit Thibaut Canuti.
Il
y avait affluence ce samedi à Rennes-le-Château pour participer à la seconde
Journée Ufologique du Razès. Il est vrai que la presse, locale et nationale,
avait largement relayé l’annonce de cet événement. Ce qui fera à dire à
Alexandre Painco, Maire de la commune, que l’ufologie est une discipline
sérieuse justifiant de recherches sérieuses. Il saluera au passage la présence
dans la salle de représentants « d’une jeune génération de chercheurs avec
lesquels il faudra désormais compter ».
Yves Lignon prendra le relais,
montrant avec pertinence comment cette discipline est souvent discréditée par
le comportement même de certains de ses adeptes.
Ce
sera à Jean-Luc Rivera, Directeur de La
Gazette Fortéenne, d’ouvrir le cycle des conférences avec « Qu’est-ce
qu’un cas solide en matière d’Ufologie ? ». Il nous résumera pour ce faire
l’histoire de l’ufologie contemporaine, en insistant sur les cas « non
expliqués » (Kenneth Arnold, Valensole, Téhéran…).
Didier
Gomez, chercheur au sein de l’association MUFON, prendra le relais pour nous
présenter Ufomania, une revue de
référence qu’il anime.Son objectif
principal est de présenter le bilan des recherches réalisées durant les
dernières semaines tout en essayant de déboucher sur un débat d'idées
constructif. « L'ensemble des données
publiées provient de témoignages, d'articles de presse ou de réflexions émanant
de nos différents correspondants en France et à l'étranger. Ensemble, nous nous
efforçons de faire progresser l'étude du sujet en apportant peu à peu des
éléments de réponse. Si l'origine de ces phénomènes n'est pas encore clairement
identifiée, de nombreuses pistes restent envisageables.
Il est
donc important de garder l'esprit ouvert afin de mieux appréhender leur
signification dans notre environnement immédiat. Les enquêtes sur le terrain
constituent notre matière première d'étude. » cf http://www.ufomania.fr/accueil.html.
Puis
ce sera à Vincent James, chercheur, à nous présenter « L’incident de
Moriches Bay », un étonnant cas de « crash » d’OVNI survenu au
large de New YORK.
Depuis la fin de 1995, le LIUFO (association ufologique américaine) affirme en
effet qu’un incident majeur s’est produit le 28 septembre 1989 à Moriches Bay,
le golfe qui borde la rive sud de Long Island. Il y a là une région de camping
très populaire, Smiths Point Beach, mais voilà qu’elle a été subitement fermée
au mois d’août précédent par décision du gouvernement local du comté de Suffolk
un vague prétexte de « problèmes budgétaires ». Le 24 septembre en fin
d’après-midi, Bruce et Martha Richardson se trouvent sur leur cabin cruiser
mouillé dans la baie, lorsqu’ils voient une formation d’hélicoptères Huey de
l’armée approcher par l’est. Ils se mettent en ligne et commencent à tourner
au-dessus de Smiths Point Beach. Le manège dure environ une heure, après quoi
les appareils s’éloignent vers l’ouest. Le soir du 28, des habitants se
plaignent de problèmes électriques et de perturbations des émissions de
télévision. Quelques personnes aperçoivent d’étranges lumières au-dessus de la
baie, qu’ils prennent d’abord pour des fusées éclairantes à parachute. Vers 17
h 30, les McLaughlin remarquent deux grands objets triangulaires qui
s’immobilisent dans le ciel. On ne voit ni moteurs, ni ailes, ni lumières, ni
fenêtres mais leur surface semble lisse et d’un noir d’encre. Voir à ce sujet
par exemple: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t10060-lincident-de-moriches-bay-que-faut-il-en-penser#ixzz3Cdr66Zq9
L’heure du déjeuner sera mise à profit pour nouer de
nouveaux contacts, approfondir les échanges et répondre aux questions du
journaliste du Parisien qui couvrait
l’événement. Le Dragon de Rhedae aura
du mal à faire face à l’afflux d’ufologues affamés voulant tous tester « l’œuf
cocotte au foie gras » !
L’après-midi reprendra avec une intervention pointue du
jeune chercheur Thibaut Canuti sur « Les Ovnis et le Nucléaire ».
Il insiste beaucoup sur le fait que ce ne sont pas que
les centrales nucléaires qui semblent être surveillées, mais toutes les
activités nucléaires humaines. De nombreux témoignages de militaires semblent
aller en ce sens pour ce qui est des bases de missiles à ogives. On peut
écouter cette intéressante analyse en podcast sur le site : http://www.bob-toutelaverite.fr/thibaut-canuti-les-ovnis-et-le-nucleaire_a1233.html
Vincent James reprendra la parole pour traiter du
passionnant dossier des exoplanètes. Il partira de Mars, puis des satellites de
Jupiter avant de plonger dans l’espace à la recherche de signes de vie. Il
insistera notamment sur la découverte récente de « Nova Terra », une
planète jumelle à la nôtre. De taille équivalente à notre planète, Kepler-186f
est située dans la zone « habitable » de son étoile. Pourquoi cette 1 781e
exoplanète, selon le décompte de l'un des catalogues de référence,
exoplanet.eu, peut-elle prétendre au titre très recherché de jumelle de la
Terre? Tout d'abord parce qu'elle fait presque exactement le même diamètre que
notre planète (elle est 10 % plus grosse). Cela est rare et signifie qu'elle a
de grandes chances d'être rocheuse - au même titre que Vénus ou Mars. Ensuite
parce qu'elle est située dans la zone d'«habitabilité» de son étoile. En somme,
à une distance où il ne fait a priori ni trop froid ni trop chaud pour pouvoir
conserver de l'eau liquide à sa surface (à titre d'exemple, la zone d'habitabilité
du Soleil ne contient que la Terre, Mars et la Lune). Il s'agit de la première
exoplanète à réunir ces deux propriétés. (http://www.stargate-fusion.com/forum-stargate/science/decouverte-officielle-terra-nova-t20570_1.html).
Le conférencier estime par ailleurs que « ceux qui nous
visitent » ont par rapport à nous un décalage maximum de deux siècles.
La
journée se terminera par une table ronde avec les intervenants auxquels se
joindra l’universitaire Geneviève Beduneau. Animée par le journaliste Jocelin
Morisson, elle aura pour objet de faire le point sur « le cas Phoenix ».
Les Lumières de Phoenix (Phoenix Lights en anglais), appelées aussi parfois
Lumières au-dessus de Phoenix (Lights over Phoenix en anglais), sont le nom
populaire donné à une série d'observations de phénomènes lumineux célestes
au-dessus de la ville de Phoenix et du désert de Sonora (Arizona), le 13 mars
1997. Des phénomènes lumineux semblables se répétèrent le 6 février 2007 et
furent filmés par des employés d'une station locale de Fox News. Un incident du
même genre est survenu le 21 avril 20083. Il aurait été causé par des ballons
leurres gonflés à l'hélium.
Nombreux
sont ceux à avoir souhaité prolonger la soirée avec nous, puisque nous nous
retrouverons à 35 personnes au Jardin de Marie pour partager le dîner de l’amitié.
Morgan et ses Morganettes s’étaient surpassés pour nous préparer un repas ad
hoc qui commencera bien sûr par une dégustation de « petits gris ».
Rendez-vous
l’année prochaine pour une troisième édition de ces belles rencontres où l'on ne parle pas de "Plantard et les extraterrestres" !
INTERVIEW - L'écrivain Philippe Marlin explique au Figaro
la nature de ce rendez-vous scientifique. Au-delà des clichés, la 11e
édition de cette manifestation de samedi continue ses investigation en
se plaçant sous le signe du sérieux.
Avec la journée ufologique du Razès à Rennes le château, on est loin de la série mythique des années 60 Les Envahisseurs.
Personne n'ira se vanter comme jadis David Vincent «de les avoir vus...
et de devoir convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà
commencé».
Non, ce samedi, cette 11e édition sera au contraire
l'occasion pour cette para-science de ce concentrer sur certains
phénomènes inexpliqués, tout en tentant d'y apporter des éclairages
rationnels. Six conférences tenues par des scientifiques de toutes
branches sont organisées à cet effet à Rennes-Le-Château.
Selon
Philippe Marlin, spécialiste de la discipline, ces journées sont souvent
considérées avec un brin de mépris par certains. Qu'importe!
«L'ufologie n'est pas morte, explique-t-il. Nous accueillons des
chercheurs très respectables qui font de réelles investigations.» Pour
légitimer leur démarche, les organisateurs travaillent tout au long de
l'année avec le GEIPAN (Groupe d'Études et d'Informations sur les
Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés français).
«Les premiers à discréditer l'ufologie sont les ufologues.»
Bien
que «vieille comme le monde», l'ufologie est née juste après la Seconde
Guerre Mondiale, notamment avec Kenneth Arnold en 1947. Ce pilote de
ligne avait distingué dans le ciel des lumières et des formes étranges.
Il sera le premier à utiliser le terme de «soucoupes volantes» (flying
saucer). Vient ensuite l'énigme de Roswell,
et son soi-disant extra-terrestre capturé par l'Armée américaine au
Nouveau-Mexique en 1947, qui fait désormais partie de la culture
populaire planétaire.
Mais il ne s'agit pas pour lui de tenir des
conférences farfelues: «Nous ne voulons pas de fantaisistes. [...] Les
premiers à discréditer l'ufologie sont les ufologues.» Samedi 6, les
scientifiques et les curieux présents pourront assister à plusieurs
débats, dont «Qu'est-ce qu'un cas solide en ufologie» qui déterminera à
savoir ce que l'on peut étudier dans cette discipline, ou encore «À
propos des exo-planètes» où le spécialiste du sujet James tentera
d'expliquer leur nature et les relations qu'une autre forme de vie
pourrait avoir avec la Terre.
Aude : des vacanciers observent un ovni dans le ciel de Bugarach
L'Indépendant
Le 03 septembre à 6h00 par Catherine Mercier | Mis à jour il y a 2 heures
Depuis Rennes-le-Château, cette famille varoise ordinaire a
aperçu, dans la nuit du 22 au 23 août, un objet sphérique et lumineux.
Florent et Stéphanie et leurs deux filles, Laurie (14 ans) et Romane (16
ans) ont passé une semaine de vacances à Rennes-les-Bains. Nous les
avons rencontrés alors qu'ils verrouillaient la porte de leur
mobile-home, au camping la Bernède avant de retourner chez eux, dans le
département du Var. Hormis les nombreuses activités réalisées par cette
famille (cheval à Arques, rafting, canyoning, randonnée pédestre et
quelques repas au restaurant), Florent nous a raconté qu'ils sont allés à
Rennes-le-Château et que là, il leur est arrivé une étrange histoire.
La rigolade tourne au cauchemar
Ses filles et son épouse deviennent visiblement agacées par cette
histoire pour le moins troublante. En effet, Florent savait en venant à
Rennes-les-Bains qu'il inviterait sa famille à visiter
Rennes-le-Château. C'est son histoire locale qui l'a interpellé. Le Pic
du Bugarach pas loin a retenu également toute son attention. Sur le coup
de minuit et demi, alors que la famille contemple le paysage au pied de
la tour Magdala, Florent, muni de sa torche, se met à exécuter trois
signaux lumineux en arc de cercle en direction du Pech, et ce
d'ailleurs, sans conviction aucune. "Mais, dit-il, j'avais
vu un témoignage de touristes anglais sur Internet qui assuraient avoir
été ainsi les témoins d'une apparition fort surprenante…". Bien
sûr, cela suscite les rires des filles qui l'entourent, et celui-ci rit
même avec elles de bon cœur. Mais voilà que dix petites minutes plus
tard, Florent et ses filles nous décrivent une scène à la fois forte,
mais concéderont-ils, "relativement effrayante".
Un objet sphérique et lumineux
Le père de famille nous décrit très précisément "une sorte d'étoile,
brillant intensément, est sortie à droite du Pic… Elle scintillait
beaucoup plus que ne le ferait un avion ou un hélicoptère en vol
stationnaire sans lumières clignotantes. On voyait très clairement une
variation de blanc brillant à jaune orangé. Cela s'est déplacé à droite,
sur environ un à deux kilomètres. Je dirai horizontalement et
lentement, puis est revenu, au niveau du Pic avant de se redéplacer
encore une fois à droite. L'objet semblait flotter et n'émettait pas de
clignotant de type hélico ou avion. Puis, l'objet est rentré "dans" le
Pech de Bugarach".
Florent reprend : "C'était sphérique et cela volait un peu en
dessous du sommet droit du Pech, soit environ à 1 000 mètres. Ce n'était
pas une hallucination, nous n'avions bu aucune boisson alcoolisée, et
toute ma famille a vu ce que je vous décris". Ses filles qui ne souhaitent pas trop en parler, racontent : "Nous
hésitons encore à nous exprimer sur ce sujet et nous ne sommes plus
étonnées par les choses étranges qui se passeraient par ici."
"Une chose est certaine, rétorque Florent, je ne le referai plus, mais je reviendrai, assurément… ! Je sens avoir vécu ici des choses trop exceptionnelles". La coïncidence avec l'organisation de la 2e journée de l'Ufologique,
du samedi 6 septembre est fortuite, puisque Florent et sa famille n'en
avaient pas connaissance. Ils regrettent déjà de ne pouvoir y
participer, leur témoignage aurait été capital, mais il y a école ! Une
famille ordinaire qui a vécu une histoire des plus étranges.
George Kiess est sans doute un Sage, tant ses réactions sont
pondérées. Pourtant, son expérience pourrait le pousser à crier qu’il a
lu beaucoup d’horreurs, de faits marquants qui souvent contrarient
l’image d’Epinal,.. qu’il sait lui, certains dessous de l’Histoire.
Qu’il a, grâce à ses recherches paléographiques, à son ouverture
d’esprit et à ses réflexions interminables pu dénouer le fil qui a
conduit certains faits marquants de l’Histoire.. Mais il a plutôt
choisi d’écrire, coucher sur le papier sans relâche pour dénoncer… C’est
auprès de son ami Anthony Gleizes (imprimeries Antoli à Carcassonne)
qu’il trouvera les moyens de publier le fruit de ses recherches.
«Plusieurs livres ont été édités, et d’autres le seront encore sûrement »
nous souligne George Kiess, le regard déjà penché sur ces autres tomes
qui devraient faire suivre son dernier ouvrage, « Templiers Templiers
Recherches d’Authenticité ».
A cet ami de l’Histoire, ce conférencier qui a fréquenté les plus
grands théoriciens dont Jean Duvernoy, lu et compris René Grousset (de
l’Académie Française), Steven Runciman de Cambridge.., fréquenté les
bancs universitaires toulousains, décortiqué les auteurs arabes (la
croisade vue par les arabes) avec Amin Maalouf et Oussama Ibn Munqidh, à
ce chercheur infatigable qui a fouillé les archives de l’Aude et
d’ailleurs et trouvé la raison sur le véritable pourquoi des Croisades,
qui propose de découvrir, brute et non romancée, mais toujours
référencée, la raison de toute notre histoire contemporaine à la lumière
du passé.
Recherche d’Authenticité
Son dernier livre « Templiers Templiers Recherche d’Authenticité »
raconte les anthropophages de la première croisade et autres faits
marquants jusqu’à la 3e croisade. De nombreux épisodes référençant
l’histoire des religions y sont dévoilés. Aujourd’hui encore et pour
quelques jours, cet ouvrage est à la souscription à un prix avantageux
(22 € au lieu de 28 €), numéroté et signé sur les 1000 premiers
exemplaires.
Georges Kiess sait qu’il va bousculer certains clichés sur les
Templiers et sur l’Ordre qu’ils représentent, propose de découvrir en
540 pages le contexte mais également les deux aspects de l’Ordre du
Temple.
Une sortie prochaine qui trouver un large écho non seulement dans
les contreforts pyrénéens ou en Europe, mais dans le monde entier.
Georges Kiess 18 boulevard de la Pinousse 11260 FA. Tel 09.52.37.33.08 /e-mail : kiess.georges@free.fr
PHOTO George Kiess