La Ligue des Rouquins (1891, 2005 Omnibus). On sait que Conan Doyle
avait beaucoup d’humour et il nous en fait ici une démonstration éclatante.
Sherlock Holmes reçoit un usurier en plein désarroi. Roux de chevelure, il a
répondu à une petite annonce cherchant à pourvoir un poste à « Le Ligue
des Rouquins », poste bien payé et peu stressant. Il a obtenu ce poste grâce
à sa chevelure flamboyante et n’est mobilisé que quelques heures par jour pour
recopier à la plume L’Encyclopedia Britannica !
Las, un jour, il trouve son bureau fermé. La Ligue s’est volatilisée et il
demande à notre détective de percer ce mystère. Holmes nous fera à nouveau une
démonstration éblouissante de ses talents d’observations et partira sur la
piste de l’assistant de l’usurier. Un criminel activement recherché qui a créé
l’organisation bidon pour détourner son patron sur une autre occupation. Il
avait ainsi tout loisir pour creuser dans la cave de l’immeuble des bureaux
pour pénétrer dans la salle-forte de la banque attenante aux locaux !
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