Le Signe des Quatre (1890, 2005 Omnibus). Ce second roman nous fait
découvrir un aspect curieux de Sherlock Holmes, son addiction à la cocaïne. Une drogue qu’il
utilise en période de « basses eaux », c’est à dire lorsqu’il n’a pas
de mystère à élucider. Cela stimule son activité cérébrale et l’empêche de
tourner en rond. On y rencontre également la jolie Mary Morstan dont Watson va
tomber follement amoureux et qu’il épousera à la fin de l’aventure. La jeune
femme reçoit chaque année une perle de grande valeur pour la
« dédommager », de la part de son père militaire décédé. Nous
plongeons alors dans une histoire de trésor « colonial », trouvé aux
Indes par une équipe de bagnards, subtilisé par des militaires dont le père
décédé. Le trésor se retrouvera entre les mains d’un collègue de ce dernier à
Londres, mais traqué par l’un des survivants de l’équipe de bagnards. Le trésor
finira au fond de la Tamise lors d’une traque équipe. Mary Morstan ne touchera
pas la part qui lui revenait mais aura gagné l’amour de Watson !
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