C’est
à une épopée au-delà du Cercle Arctique à laquelle Will Murray nous convie avec
La Flamme Noire (1996, in The Cthulhu Cycle et Le Cycle de Cthulhu, Oriflam 1998). Les
Grands Anciens se manifestent en faisant sortir de la glace une corne vitrifiée
afin d’attirer les humains. Les Inuits crient au miracle, car ils peuvent
récupérer de fines particules très aiguisées dont ils vont armer leurs
flèches, décuplant leur récolte de gibier. Ils nomment la chose « le Bon et
Chaud Esprit de la Terre » alors que c’est un piège tendu par Nug, le père
de Cthulhu. Le narrateur regrette lourdement que les Inuits soient un peuple inculte,
car s’ils avaient lu le Necronomicon…. La
corne va s’orner d’une roue que les indigènes vont faire tourner, ce qui fera jaillir
une flamme noire glacée. Plusieurs de chasseurs seront happés par le monstre qui,
repu, refermera le passage. Au même moment, au Pôle Sud, le chaudron de Yeb, frère
jumeau de Nug, fera son apparition.
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