mardi 17 mars 2020
Compte rendu de l’ouvrage « Philippe Marlin, un enfant de Planète, Entretiens avec Claude Arz » (première partie).
Le livre en question.
Je ne savais pas comment
chroniquer dans ce blog un livre que j’ai trouvé passionnant, Philippe Marlin, un enfant de Planète, Entretiens avec Claude Arz aux éditions de l’Œil du Sphinx. J’ai décidé tout simplement d’en commenter les
meilleures parties au hasard de ma lecture, étant dans l’impossibilité de
résumer un livre qui porte sur 71 ans de la vie d’un homme hyperactif (Philippe
est né en 1947).
J’ai rencontré Philippe Marlin en
l’an 1999. Il avait créé déjà depuis l’année 1989 l’association l’Œil du sphinx
consacrée entre autres à l’écrivain
américain de littérature fantastique Howard Phillips Lovecraft, et moi je
venais de traduire deux romans d’un épigone allemand de cet auteur, Wolfgang
Hohlbein, intitulés Le mage de Salem et
L’héritage de la nuit. J’ai donc
adhéré à son association.
C’était l’époque des publications
d’amateurs (fanzines), et toute une série de titres sortirent des presses
d’origine de l’association : Dragon & Microchips (Science-Fiction,
Fantastique), Murmures d’Irem
(Ésotérisme), Rôle’ and’
Rêve (Jeu de Rôle). Le succès rencontré
(62 volumes publiés) amena les fondateurs en 2000 à doubler l’association d’une
véritable structure commerciale, sous forme de SARL, Les Editions de l’Œil du
Sphinx. L’entreprise multiplie désormais les incursions dans de nombreux
domaines, mystères de l’histoire, fortéanisme et cryptozoologie, ufologie et
parapsychologie tout en continuant à rendre hommage à H.P. Lovecraft.
Philippe Marlin, un enfant de Planète, Entretiens avec Claude Arz est
le compte rendu des entretiens qui ont eu lieu du 12 février 2018 au 6 avril
2019 entre Philippe Marlin et l’écrivain Claude Arz, où Philippe a développé ce
qu’a été son action, principalement dans le domaine de l’édition et de la banque,
notamment entre 1960 et 2019, après qu’il ait lu en 1960 le livre pour lui déterminant
« Le matin des magiciens » de Louis Pauwels et Jacques Bergier. S’en est
suivie pendant dix ans la parution de la revue « Planète » inspirée
par cet ouvrage.
Je commence mon compte rendu de
manière complètement aléatoire à la page 56 sur l’AMORC (Antiquus Mysticusque
Ordo Rosae Crucis) au sujet de laquelle les commentaires de Philippe m’ont paru
très intéressants. L’AMORC est une association à visée spirituelle et
ésotérique qui, depuis le film « Qui sont les Rose-Croix ? » (du 29
juin 2018) par Frédéric Lenoir, un de
nos plus grands historiens des religions, n’est plus considérée comme une
secte.
Voici deux extraits de ce qu’en
dit Philippe :
« Les années 1970 — ça va
aussi évoquer quelque chose pour toi — ont également été de mon côté les années
A.M.O.R.C. J'ai adhéré à cette association ésotérique entre guillemets, à
laquelle je suis resté fidèle pendant de nombreuses années et dont je garde un
excellent souvenir. Pour moi, c'était un peu l'école élémentaire de
l'ésotérisme, c'est-à-dire qu'ils avaient (et ils ont toujours, je suppose) une
démarche très structurée. » […]
« Je n'ai jamais recruté
personne. Par contre, j'étais un étudiant fidèle. J'ai toujours mes
monographies, mes cahiers de notes. »
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