lundi 31 octobre 2011

RAZES PARANORMAL ACTIVITY (1)

 

Sylvie et ses amis les fantômes

 

Le 31/10/2011 à 06h00 par Patrick Bessodes | Mis à jour à 10h08
Derrière la statuette, on distingue le visage d\'un homme de profil.
 
 
Derrière la statuette, on distingue le visage d'un homme de profil.  © D.R
La petite Sylvie, du haut de ses 5 ans d'insouciance, se balance dans le cadre magique du bosquet à Fontiers-Cabardès au milieu des chênes centenaires.
Une voix rauque et lointaine l'appelle de son prénom. Nous sommes en 1971 et ce premier phénomène dont Sylvie Tadiotto, devenue depuis medium, se remémore, marque le début d'une vie extraordinaire. Une vie faite de visions au service des autres. Une vie de médium étroitement liée à une foi profonde.
Aujourd'hui âgée de 45 ans, elle a choisi de se consacrer entièrement à son don après avoir été, entre autres, commerçante pendant des années à Carcassonne. Dans son cabinet, petite pièce lumineuse installée dans sa petite maison à Villemoustaussou, au milieu de statues de Saint- Jean, de la Vierge Marie ou de Saint Antoine de Padoue, elle consulte, tous les jours, agriculteurs, retraités, malades, élus ou même médecins pour une simple voyance ou pour une séance de guérison. "Je suis née médium. J'ai à la fois la vision mais j'entends aussi des voix qui me parlent…"
Ce don, pendant des années, Sylvie le tait. "Dès que j'essayais d'en parler, on me disait : tu racontes des histoires. Je me sentais exclue. J'ai beaucoup souffert."
Revenants à la Toussaint
Aujourd'hui, elle exerce comme médium, mais sa "récréation" comme elle le dit, avec humour, c'est de photographier ce que l'on appellera des fantômes ; êtres de l'au-delà qui se manifestent de temps en temps sous ses yeux experts. Le voile se lèverait particulièrement en cette période de Toussaint.
"Je fais des photos pour prouver que l'au-delà existe."
Depuis des années, Sylvie accumule des milliers de clichés, visions furtives le plus souvent, énigmatiques toujours. "Je fais des photos pour prouver que l'au-delà existe. Ils forcent le passage entre deux mondes. Ils se servent de l'énergie électrique pour apparaître. Cela explique ces photos floues."
Apparition de Le Hetet
Notre 'chasseuse' d'images fantastiques organise parfois une "expédition" comme sur le site des châteaux de Lastours, "lieu chargé de mémoire et habité". Mais le plus souvent, un fantôme s'invite au hasard d'une soirée.
Pianotant sur son ordinateur, elle plonge dans ses archives et ressort une photo où apparaît une partie d'un visage, avec en second plan des enfants dans une salle de judo. Sylvie raconte. "Ma mère prenait mon fils qui s'entraînait au judo, c'était en 2002. Le visage d'Alain Le Hetet, le karatéka mort un an plus tôt dans un accident de voiture est apparu sur l'une des photos. Quand on l'a rentrée sur ordinateur, elle a disparu."
Autre lieu, autre histoire, comme ces photos prises chez des amis dans une grange à Villardonnel. Sylvie a des visions de tortures, des Allemands. Elle prend des photos et sur l'une d'elles, son ami apparaît avec un bras mutilé. "Une façon de me signaler qu'il y avait eu ici des tortures pendant la guerre."
La médium compte bien publier, un jour, un ouvrage sur son activité de 'chasseuse' de fantômes et sur ses images insolites vues et "jugées sans trucage" par un photographe professionnel, Grégorie Aubourt.
Le mystère plane toujours, mais Sylvie poursuit ce qu'elle nomme sa mission. "Je ne me prends pas pour Dieu. Je suis mon guide, il me montre tout. Mais pour les miracles, il ne faut pas venir chez moi, il faut aller à Lourdes."

THIERRY GAULIN VA AFFRONTER LES OVNIS DU RAZES


LE TRESOR DE SAUNIERE DANS UN COFFRE

 

Le trésor de Saunière serait dans un coffre

Le 31/10/2011 à 06h00 | Mis à jour à 09h31
 L\'église rénovée par Béranger Saunière n\'a pas fini de livrer ses secrets.
L'église rénovée par Béranger Saunière n'a pas fini de livrer ses secrets.
"Le livre de l'abbé Boudet, intitulé 'La vraie langue celtique', comporte beaucoup de codes. Or, il se trouve que j'en ai déchiffré un", confie la médium Florence Taveau. Le mystère du trésor de l'abbé Saunière la passionne depuis longtemps.
En 2008, on se souvient qu'elle avait publié un roman : "La Rose des vents", suite à un coup de colère provoqué par le "Da Vinci Code", de Dan Brown : "Contrairement à ce qu'il affirme, Marie-Madeleine n'a jamais été la maîtresse du Christ !", lançait-elle alors.
Mais aujourd'hui, le mystère du trésor prend une nouvelle tournure : "L'un des codes laissés par Boudet, et que j'ai pu déchiffrer, me permet d'établir des corrélations avec la grande fresque de l'église de Rennes peinte par l'abbé Saunière et sur laquelle on aperçoit une pierre de meule (300 kg) qui existe réellement puisqu'elle se trouve au bord de la Salz, à Couiza".
Selon ses observations effectuées sur le terrain, cette pierre se situe dans "l'alignement de la tombe celtique d'un archidruide, tombe qui est peinte également sur la fresque, comme la pierre de meule. Et à côté de la tombe, Saunière a peint un coffre ce qui, bien sûr, a provoqué en moi un déclic. S'il l'a peint, c'est qu'il existe, lui aussi !".


Ecrits ramenés par les templiers
Soit, mais que pourrait-il contenir ? Le fameux trésor ? Se référant toujours à la fresque, Mme Taveau pense plutôt à des documents relatifs à la résurrection du Christ : "Saunière a dessiné un lièvre qui, on le sait, symbolise la résurrection du Christ". Troublant...
Mais le lieu même où repose la pierre de meule semble appuyer le propos : des monuments religieux y sont érigés en forme de croix située dans un cercle, une figure qui symbolise la victoire du christianisme sur le paganisme.
Ce triomphe spirituel, les abbés Saunière et Boudet y font eux-mêmes allusion dans divers écrits. Doit-on pour autant en conclure que le fameux trésor serait d'ordre uniquement spirituel ? Florence Taveau nuance : "Cela n'exclut en rien la présence d'un trésor monétaire. Il faut savoir que Boudet fait allusion, dans son livre, à des écrits datant d'une période antérieure au concile de Nicée, liés aux Patriarches de la Genèse et dont le message se résume à ceci : on peut se passer des trois religions. Mais les patriarches annoncent aussi la venue du Christ. Or ces écrits ont été ramenés de Terre Sainte jusqu'à Rennes par les Templiers. Et ces moines-soldats possédaient un trésor matériel". Florence Taveau n'en dira pas davantage. Elle prévoit d'écrire un livre sur le sujet. Il paraîtrait d'ici un an.

dimanche 30 octobre 2011

ALLEGRESSE (Paris)




11 – Allégresse (3 rue Louis Bonnet, 75011 Paris, tél 01 43 38 63 90). Un petit chinois de Belleville à remarquer pour la fraîcheur de ses mets et la modestie de ses prix. Buffet, fondues et grillades (à volonté) sont à l’honneur. Un traiteur estampillé par l’ODS.

LES REPAS UFOLOGIQUES DU RAZES




Les dîners-débats du Razès se transformeront le 19 novembre en repas ufologique pour accueillir Thierry Gaulin avec pour thème

L'UFOLOGIE POUR LES NULS

On réserve sa soirée au 04 68 20 04 77

Conférence à 19 h 30 précise au Relais de la Haute-Vallée, 46 avenue du Languedoc, à 11260 Campagne-sur-Aude. Le repas est à 22 € tout compris.

UNE MANIFESTATION DE L'OEIL DU SPHINX

(voir l'événement sur Facebook)

HENRY LINCOLN EN PLEINE FORME.


Henry Lincoln nous a donné le 29 octobre une conférence pleine de malice sur les fondamentaux de l'affaire castelrennaise. Il a notamment passé au crible les "vrais/faux" du dossier, et notamment les parchemins, le tableau de Poussin, la géographie du Haut Razès et les inscriptions sur la tombe de la marquise. Étonnant.

LES CATHARES DE FIGEAC

Dimanche 30 Oct - 18:26 - Sainte Bienvenue
Publié le 30/10/2011 03:47 | La Dépêche du Midi

Figeac. Les cathares dans le figeacois

histoire

C'est du château de Béduer, que Déodat de Barasc partit pour la croisade.
C'est du château de Béduer, que Déodat de Barasc partit pour la croisade.
C'est du château de Béduer, que Déodat de Barasc partit pour la croisade.
C'est au hasard de réédition d'un ouvrage de Michel Roquebert consacré aux Cathares, « La terre et les hommes », que nous est venue l'idée de partir à la découverte des hérétiques dans la région figeacoise. A dire vrai, peu de témoignages nous sont parvenus de cette époque trouble. Juste quelques écrits.
Passant près de Montcuq, le 12 juin 1914, Simon de Monfort qui menait la croisade, reçoit la soumission du Quercynois Déodat de Barasc, seigneur de Béduer, Lissac et Montbrun. Arrivant en septembre à Figeac, il reçut en ville les plaintes des habitants et procéda aux règlements de quelques procès. C'est là que les seigneurs de Capdenac vinrent également se soumettre, sur un acte paraphé notamment par l'abbé de Figeac.
C'est 30 ans plus tard, lors du siège de Montségur, que l'on trouve la trace d'un ingénieur architecte, Bertrand de la Vacalerie, originaire du hameau éponyme de Capdenac. Le 1er janvier 1944, il entra de nuit dans Montségur, envoyé par Sicard Alaman et Bertrand Roque bayles du comte de Toulouse, pour « réparer les arbalètes et construire une machine destinée à combattre celles du Roi. Résistons à l'armée durant sept jours, et nous serons sauvés » aurait-il dit, selon la déposition d'Imbert de Salles, devant l'inquisiteur. Mais le 16 mars 1944, le représentant du Roi prit possession du castrum, et s'ensuivit l'odieux bûcher où périrent plus de 200 parfaits cathares. Avant cela, Pierre Roger de Mirepoix avait offert son cheval à Bertrand de la Vacalerie, qui put s'enfuir, et nous perdons ses traces à Montgaillard.

L'inquisition

Vint alors la terrible période de l'inquisition, où les cathares furent partout traqués. Nous retrouvons, lors de cette sombre période, plusieurs de nos concitoyens. Certains purent fuir, comme Guillaume Pélissier de Figeac. Mais beaucoup d'autres n'eurent pas cette chance et furent jugés par Pierre Cellan, inquisiteur en Quercy.
Donner du pain aux hérétiques, leur louer une maison, écouter leur prédication, leur offrir du travail, les recevoir ou simplement leur parler, tout était passible de plus ou moins lourdes pénitences. Pour ces péchés véniels, Bernard de Lasmartres (Le Bourg), Guillemette de Gaillac (Cajarc), Guillemette et Géraude de Roquefort (Corn), ainsi que Raymonde de Corn, durent porter ostensiblement une croix sur la poitrine durant plus d'un an.
Mais pour les avoir accueillis dans leur maison, lu l'évangile avec eux, ou les avoir consultés, Guillaume Favart de Camburat et Gaillard de Goudou (Corn), durent s'exiler un an à Constantinople, et entretenir un pauvre durant la même période.
Et ce ne furent là, que des peines légères.
Sources : Michel Roquebert et Gérard Sioen : La terre et les hommes, éditions place des victoires. Michel Roquebert : L'épopée cathare, éditions Privat en 4 volumes. Jean Duvernoy : L'inquisition en Quercy, l'Hydre Éditions.

LA COMMANDERIE DE BURE

Bure-les-Templiers. La Commanderie est située au cœur du village. Pour l’amour des pierres

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le 30/10/2011 à 04:00 Vu 95 fois
En octobre 2010, le corps principal a été mis hors d'eau et les pierres entassées.  Photo archives Lucia Rambaud

En octobre 2010, le corps principal a été mis hors d'eau et les pierres entassées. Photo archives Lucia Rambaud

Depuis 2006, le nouveau propriétaire de la Commanderie, Amaury Sabatier, s’attache à la restauration du domaine pour que le site revive.

Amaury Sabatier a eu un « coup de cœur » pour cette ruine adossée à l’église. Il n’a pas hésité à s’en rendre acquéreur « pour la sauver ». Une restauration qui a duré « cinq ans éprouvants, mais pour obtenir un cadeau extraordinaire ». Il s’est donné jusqu’en 2030 pour réaliser son rêve. « Il y a 800 ans, on était chez le pape, la Commanderie relevait directement du Saint-Siège ».
Au cours d’une balade, admirant les assises de la maison et les blasons, Amaury Sabatier découvre un établissement à ciel ouvert ; une seule salle chaleureuse et conviviale avec une magnifique cheminée et pour le reste des murs en équilibre, les ruines de la tour carolingienne, avec un départ d’escalier, qui s’est effondrée en 1879 faute d’entretien.
Le propriétaire garde le corps principal, dont il a refait la toiture, pense monter une hôtellerie dans un bâtiment accolé à l’église et installer une maison d’accueil dans la petite structure au bord de la rue. Pendant longtemps, la Commanderie appartenait à quatre propriétaires qui n’ont pas compris l’intérêt de la préserver, elle a même fait l’objet de dynamitage de 1952 à 1958, au risque de fissurer l’église. Les bâtiments ont servi de bâtiments agricoles, ce qui l’a sauvée, estime-t-il. Sa satisfaction est d’avoir donné un seul propriétaire à la Commanderie et de lui avoir restitué ses limites qu’elle avait perdues au remembrement de 1937.
Amaury Sabatier a déblayé les gravats, qui encombraient les espaces entre les maisons en ruines, avec l’aide d’Éric Tarteret, agriculteur qui laisse à disposition une remorque et la vide quand elle est pleine, la pierraille servant à renforcer les chemins forestiers. Il a entassé les belles pierres de façon ordonnée pour un futur réemploi. Il s’est fait bûcheron en abattant des perches de 15 m de hauteur dans ce qui était devenu un vrai bois, en débroussaillant les accès. Il a l’espoir qu’au printemps la Commanderie revive.
L’association Les Amis de la Commanderie de Bure-les-Templiers, créée en 2009, a pour mission de sauver les parties sud, ouest et est. L’objectif est aussi de faire ­connaître ce lieu, son histoire très riche en proposant des visites guidées sur rendez-vous. Déjà, lors des dernières Journées du patrimoine, une belle initiative de l’association La Patrouille de la Rose des Sables a proposé une visite guidée des lieux avec Christophe Couson en t enue de templier. Michel Miguet va sortir un livre consacré à Bure aux Éditions de l’Armançon.
Amaury Sabatier travaille à la création d’un site Internet et à l’édition de dépliants qui seront distribués dans les offices de tourisme.
Info Renseignements : tél. 03.80.95.51.00 ou 03.80.81.31.67.

samedi 29 octobre 2011

LES CATHARES EN FAMILLE

Samedi 29 Oct - 11:51 - Saint Narcisse

Sur une famille proche du catharisme

conférence

Une histoire à découvrir/ Photo DDM
Une histoire à découvrir/ Photo DDM
Une histoire à découvrir/ Photo DDM
Le Pays d'art et d'histoire des Pyrénées Cathares revisite une période de son histoire « cathare ». Il organise en partenariat avec la commune de Bénaix une conférence portant sur une des familles proches du catharisme, celle de Massabrac. Ce sera le samedi 5 novembre à 16 heures à l'ancienne école à Bénaix. On connaît plus facilement Raimond de Péreille ou Pierre Roger de Mirepoix. Toutefois, de nombreux autres petits seigneurs occitans ont été impliqués dans cette religion. C'est le cas de la famille Massabrac. Oth et Raimond ont participé au massacre des Inquisiteurs à Avignonnet quelques années avant le siège de Montségur. Le jeune Alzeu a été blessé lors du siège. Comme la plupart des chevaliers en lien avec le catharisme, ils ont été dépossédés à la suite de la croisade contre les Albigeois. Aujourd'hui on connaît leurs vies par les témoignages devant l'Inquisition. Fabrice Chambon et Richard Pigelet se proposent de les faire revivre le temps d'une conférence. Fabrice Chambon, guide de Montségur dont il n'est plus besoin de redire les talents de conteur, partagera avec nous l'histoire de leurs vies. Richard Pigelet, chargé de l'accueil au musée de Montségur relatera les liens qui existent entre cette famille Massabrac et la commune actuelle de Bénaix. Nous vous attendons nombreux pour cette belle animation avec deux intervenants fins spécialistes de cette période du catharisme.
Samedi 5 novembre à 16heures, conférence sur la « famille de Massabrac » de Fabrice Chambon, guide conférencier, et Richard Pigelet, médiateur au musée de Montségur à l'ancienne école, Bénaix.

LE TRESOR DE SURCOUF

Trésors Le plus grand musée du monde gît au fond des océans

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Au gré des soubresauts de l’Histoire, des civilisations disparaissent, parfois de façon soudaine ou mystérieuse, et leurs trésors ensevelis suscitent alors une fascination sans limite. Combien d’hommes sont partis sur les traces des fabuleux trésors incas et de l’Eldorado, quitte à y laisser leur vie ? Combien furent-ils, avant Carter, à rechercher la tombe du pharaon Toutankhamon ? Et le fameux trésor des Templiers, existe-t-il vraiment ?
Les précieuses cargaisons de navires abîmés en mer représentent un autre sujet de passions et d’espoirs enflammés. Comme le souligne Erick Surcouf, le plus grand musée du monde gît au fond des océans. L’auteur retrace l’histoire de ces trésors fabuleux, qui conduisent le lecteur du royaume des Incas jusqu’à Troie, et sur les mers du monde entier.
TRÉSORS TERRESTRES ET SOUS-MARINS, Erick Surcouf, éditions Arthaud, 192 pages, 39 €.

LES TRESORS TEMPLIERS (Chaumeil)





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Les Trésors Templiers, une aventure obsédante de Jean-Luc Chaumeil (Pégase 2011) est un ouvrage qui retiendra l’attention. D’abord parce qu’il reprend le numéro 19 de la revue Le Charivari consacré au sujet (avril 1974), et aujourd’hui difficilement trouvable. Ensuite parce que cette réédition est considérablement enrichie par des articles originaux de Pierre Jarnac et une superbe iconographie couleur. Nous allons refaire avec les auteurs un cheminement à la fois romantique et érudit qui débutera, bien sûr, par l’incroyable saga de Gisors, en compagnie de Gérard de Sède, Roger Lhomoy et d’André Malraux. Puis nous passerons à Arginy (peut être un peu trop rapidement) où serait inhumé un des derniers Grands Maîtres, Guillaume de Beaujeu. Nous y croiserons également l’ésotériste Jacques Breyer qui se livra à d’invraisemblables recherches dans la Tour des Huit Béatitudes. Nous irons ensuite à Valcroz dans le Verdon, place popularisée par Alfred Weysen dans L’Ile des Veilleurs. Nous ferons une longue escale à Rennes-le-Château et retrouverons les sympathiques légendes templières du Bézu popularisées par l’abbé Mazières sans oublier de se référer aux travaux fouillés de Georges Kiess sur la commanderie de Campagne-sur-Aude. Nous passerons encore à Barbezières, Sées, Arboussols avant de nous arrêter à Mas Deus, principale commanderie du Roussillon détruite par les armées allemandes. Une petite excursion nous fera parcourir les sentiers de la Forêt d’Orient près de Troyes, puis nous découvrirons le mystère du coffret templier d’Essarois avant de terminer par une visite de l’imposant Temple de Londres. Deux contributions intéressantes nous serons de surcroît proposées sur l’alphabet secret des templiers et sur le système monétaire en vigueur sous le règne de Philippe le Bel.
Alors ? Nous ne saurons pas où se situe le trésor, ni même du reste s’il a réellement existé. Mais nous aurons effectué une bien belle ballade.